
Filomena Rotiroti (LIB), députée de Jeanne-Mance–Viger
La circonscription
Aperçu historique
La circonscription électorale de Jeanne-Mance–Viger fut créée en 2003 à partir de la fusion des circonscriptions de Jeanne-Mance et de Viger.
Origines de la désignation
La première partie de ce toponyme honore la mémoire de Jeanne Mance (1606-1673), fondatrice de l’Hôtel-Dieu de Montréal, municipalité où cette circonscription est située. La deuxième partie honore la mémoire de deux membres illustres de la famille Viger, soit Denis-Benjamin Viger (1774-1861), avocat, homme politique et co-premier ministre du Canada-Uni (1843-1846), et Jacques Viger (1787-1858), officier de milice, journaliste, magistrat et premier maire de Montréal (1833-1836), municipalité où cette circonscription est située.
Profil de Jeanne-Mance–Viger
Population électorale
Lors de l’élection générale tenue le 8 décembre 2008, 48 609 électeurs étaient inscrits dans la circonscription électorale de Jeanne-Mance–Viger. Lors des autres scrutin tenus au cours des dernières années, la situation était la suivante(1):
Date | Type de scrutin | Électeurs (n) |
---|---|---|
2008 | Élection générale | 48 609 |
2007 | Élection générale | 48 710 |
2003 | Élection générale | 50 065 |
1998 | Élection générale | |
1995 | Référendum | |
1994 | Élection générale | |
1992 | Référendum | |
1989 | Élection générale |
Le nombre d’électeurs inscrits dans la circonscription électorale de Jeanne-Mance–Viger lors de la prochaine élection générale n’est pas encore connu, compte tenu de l’existence d’une liste électorale permanente qui permet des ajouts dans les jours précédant le scrutin.
Informations supplémentaires
Pour de plus amples informations sur la circonscription électorale de Jeanne-Mance–Viger et son électorat, veuillez consulter le Profil socio-économique de la circonscription de Jeanne-Mance–Viger (format pdf; produit par le Directeur général des élections du Québec).
Notes:
- Les chiffres mentionnés ici sont tirés des rapports officiels des résultats du scrutin publiés par le Directeur général des élections du Québec à la suite des élections générales de 1989, 1994, 1998, 2003, 2007 et 2008 de même qu’à la suite des référendums de 1992 et 1995. (↩)