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Scott McKay (PQ), ex-chef du Parti vert du Québec, candidat défait (VRT) lors de l’élection générale de 2007 et l’élection partielle de 2008 dans Bourget, est maintenant candidat (PQ) lors de l’élection générale de 2008 dans L’Assomption.
Maude Delangis (VRT), candidate défaite (PQ) lors des élections générales de 2003 et 2007 dans Mille-Îles, est maintenant candidate (VRT) lors de l’élection générale de 2008 dans Mille-Îles.
Publié le 12 novembre 2008 à 05h00| Mis à jour à 05h00
Un gag du candidat Jacques Nadeau crée des remous au PQ
Michel Corbeil
Le Soleil
(Montréal) Le PQ a exercé des pressions sur le collectif Prenez garde aux chiens pour qu’il retire un sketch se moquant du mauvais anglais de Pauline Marois, sketch auquel participe Jacques Nadeau, le candidat péquiste dans Montmorency. […]
Alors qu’on tergiverse sur la tenue ou non d’un débat des chefs, une nouvelle comme celle-ci, ça ne s’invente juste pas:
Le candidat libéral dans Matapédia, Jean-Yves Roy, a profité du lancement de sa campagne, lundi, à Mont-Joli, pour réclamer la tenue de deux débats, l’un dans La Matapédia, l’autre dans La Mitis. « Le parti libéral a des proposition à faire aux gens du comté, il faut que ça se sache » a-t-il dit. […]
Nous trahissons notre âge vénérable en vous présentant ce clip qui date d‘une époque où on envoyait encore les vidéos par courriel (croyez-le ou non!):
Merci à Martin Lessard pour nous avoir remis ce jingle accrocheur dans la tête. Avec de la chance, ça devrait partir dans une couple de jours…
C‘est à ce tour de force que nous convie Bill Clennett, candidat de Québec solidaire dans Hull le 12 mai prochain, dans cette vidéo, également disponible sur le site Web de QS, où il nous explique son cheminement politique à la suite de la démission de Roch Cholette au début du mois.
Voilà un parti qui n‘a aucune espèce de chance de figurer sur la liste des partis politiques autorisés du DGE: le Parti brun du Québec, dirigé par un dénommé Bruno Lebrun (haha!).
Contrairement à Patrick Lagacé, nous n‘avions pas remarqué que l‘investiture de Québec solidaire dans Bourget et Pointe-aux-Trembles débutera en même temps que le 1er match de la série entre le Montréal et le Boston demain soir…
[…] On n‘en est pas là bien sûr mais l‘objectif de Blanchet [Claude, le mari de Pauline Marois] et de Dumont est d‘en arriver à une entente avant la prochaine élection quitte à mener une première campagne avec un duo Pauline Marois-Mario Dumont, un peu comme Québec solidaire a une direction bicéphale – Françoise David-Amir Khadir. On n‘a pas encore abordé la question du nom du nouveau parti mais ce pourrait être quelque chose comme le Parti démocratique du Québec, le PDQ. […]
Descendez dans la section Politique provinciale et cliquez sur l‘hyperlien Politique constitutionnelle qui nous mène vers le site web de l‘ADQ. Le lien de destination est plutôt paradoxal, venant d‘une formation politique qui a vu le jour lors d‘une scission du Parti libéral du Québec sur la question constitutionnelle 😉
Ont-ils été victimes d‘un réaménagement récent du site web de l‘ADQ? En tout cas, c‘est l‘occasion de tester les réflexes du personnel politique sur la Colline parlementaire:
combien de temps le webmestre de Sébastien Proulx et/ou de l‘ADQ prendront-ils pour corriger l‘hyperlien?
ses adversaires politiques récupèreront-ils l‘affaire et si oui, combien de temps prendront-ils pour ce faire?
Blague à part (après tout, ça arrive même aux meilleurs 🙂 ), hormis cette erreur, ça s‘annonce pour être un des bons sites web de député que nous avons vus ces dernières années, surtout s‘il est mis à jour régulièrement (un problème qu‘on retrouve malheureusement trop souvent parmi nos députés à l‘Assemblée nationale). On y retrouve plein d‘informations sur son travail en Chambre et dans sa circonscription, des vidéos en masse, etc. Il ne manque qu‘un blogue.
Mise à jour (12 mars, 20h30): Pas mal, ça a pris entre 12 et 24 heures pour corriger l‘erreur (nous avons vérifié ce matin avant de quitter la maison, puis à l‘instant même, et la correction s‘est faite entre les 2).
À venir (peut-être) bientôt dans une commission scolaire près de chez-vous: un candidat du REER.
En règle générale, les élections scolaires sont peu propices aux affrontement partisans entre des équipes organisées autour d‘enjeux idéologiques clairement définis. Les partis politiques dûment constitués y sont l‘exception plutôt que la règle (à part peut-être à la Commission scolaire de Montréal) et la plupart des commissaires scolaires sont élus à titre de candidats indépendants. d‘où notre grande surprise hier de lire ceci dans Le bulletin régional Saguenay–Lac-Saint-Jean, ce qui nous a menés vers cela: le site web d‘un parti politique scolaire, le Regroupement pour un enseignement efficace et rentable (REER), qui lance une campagne de recrutement des candidats dans les commissions scolaires partout à travers le Québec autour d‘une plate-forme politique commune.
À notre connaissance, même au municipal on n‘a jamais vu ça, un parti politique unifié et actif dans plusieurs municipalités du Québec. Et généralement, dans d‘autres pays, lorsque les conseillers municipaux sont élus dans le cadre de partis politiques “supra-municipaux”, il s‘agit des partis politiques nationaux qui sont également actifs aux niveaux régional et/ou local.
Élection scolaire du 4 novembre 2007 : Refusons l‘augmentation des taxes scolaires
Communiqué de presse
À l‘aube de cette nouvelle année scolaire, le porte-parole du Regroupement pour un Enseignement Efficace et Rentable (REER) annonce le lancement de sa campagne de recrutement de candidats pour l‘ensemble des circonscriptions scolaires du Québec. Cette démarche vise à contrer les plans d‘augmentation du niveau de taxation scolaire de la Fédération des commissions scolaires du Québec.
Dans le contexte actuel de gouvernement minoritaire, les Québécois ont également une opportunité en or de passer le message aux élus provinciaux sur leur désir d‘amélioration du système éducatif québécois. Le REER profite de ce contexte pour lancer un appel à la population à se regrouper sous une même bannière pour présenter une équipe dans chacune des commissions scolaires du Québec, pour exhorter les instances décisionnelles à réagir face aux problèmes du réseau. Ce regroupement offrira ainsi la chance aux électeurs de se faire entendre en offrant une option de changement.
Le REER s‘est donné comme mission de réviser la structure actuelle du système éducatif québécois et son financement afin d‘assurer une meilleure distribution des ressources vers les écoles. Ses membres veulent participer activement à cette amélioration qui vise à favoriser la croissance de la productivité et d‘adaptation des travailleurs de demain dans un contexte de mondialisation. Le Québec doit se démarquer et faire sa place dans des marchés de plus en plus compétitifs et c‘est en misant sur une éducation efficace, où le financement contribue à la mission éducative, qu‘il y arrivera.
Le défi est de taille et le temps nous est compté mais, le REER ne doute pas du désir de changement des Québécois pour la réussite de son projet. Suite au constat d‘échec du système d‘éducation à améliorer la situation du décrochage scolaire et à l‘incapacité des commissaires scolaires à influencer son évolution, le 4 novembre 2007, aucun citoyen ne pourra demeurer indifférent face aux choix offerts. d‘un côté, l‘offre de la Fédération des commissions scolaires du Québec dont le but est de créer des partis politiques permanents au niveau scolaire, d‘augmenter la rémunération des commissaires scolaires et de déplafonner le niveau de taxation scolaire, sans réel programme pour améliorer la situation dans nos écoles. De l‘autre côté, l‘offre du REER qui veut abolir les postes de commissaires scolaires et favoriser une meilleure distribution des ressources vers les écoles – sans augmentation des coûts – pour diminuer le nombre de décrocheurs en encadrant l‘élève dès le primaire.
Au cours du mois de septembre 2007, les différentes équipes se bâtiront autour d‘une même vision, soit l‘avenir et le bien-être des prochaines générations. Il ne s‘agit pas là de débattre de l‘abolition ou non des commissions scolaires, mais plutôt de la pertinence des solutions qui favoriseront l‘amélioration des conditions et des résultats du système. Efficacité et rendement doivent être la cible dans la sélection de l‘infrastructure de gestion de nos écoles et dans le choix des actions.
Pour un système d‘éducation à la hauteur de nos aspirations, le 4 novembre 2007, allons voter, empêchons une nouvelle augmentation de notre fardeau fiscal et passons le message à nos élus de notre souhait de changement.
Bernard Guay
Chef d‘équipe REER – Commission scolaire Marie-Victorin
Porte-parole provincial
Les comentateurs politiques s‘arrachent les cheveux ces jours-ci avec la course à trois qui semble se dessiner à l‘échelle nationale ainsi que dans plusieurs circonscriptions du Québec. On a pourtant déjà vu il y a quelques décennies une course non pas à trois ou à quatre, mais – croyez-le ou non – à six candidats!
La circonscription électorale de Rouyn-Noranda (intégrée à la circonscription de Rouyn-Noranda–Témiscamingue depuis 1981) est la seule à avoir jamais élu un député du CCF/NPD lors d‘une élection générale au Québec. Elle a également été le théâtre de ce qui est probablement à ce jour la campagne électorale la plus fragmentée que l‘on ait jamais connue au Québec. C‘est ainsi qu‘en 1944, année qui avait vu l‘Union nationale remporter le plus grand nombre de sièges tout en obtenant moins de votes que le Parti libéral, les électeurs de Rouyn-Noranda élisaient le candidat du Co-operative Commonwealth Federation (CCF, l‘ancêtre du Nouveau Parti démocratique), M. David Côté, avec… 21,03% des bulletins valides! Au sixième rang, le libéral indépendant Lucien-Denis Pilon, fort de ses 11,65% des voix, se retrouvait tout de même à moins de 10% d‘écart du gagnant. Entre les deux se trouvaient les candidats du Bloc populaire canadien (18,53%), du Parti libéral (17,55%), de l‘Union nationale (16,45%) et du Crédit social (14,13%). Deux autres candidats fermaient la marche avec moins de 1% des voix chacun.
Pour la petite histoire, un an après avoir été élu sous la bannière du CCF, David Côté quittait le parti afin de siéger comme député indépendant et ne se représenta pas lors de l‘élection générale de 1948. Cette année-là , l‘Union nationale, qui avait fini quatrième dans Rouyn-Noranda en 1944, remportait facilement la circonscription devant ses adversaires de l‘Union des électeurs (l‘ancêtre du Ralliement créditiste) et du Parti libéral.
Nous avons trouvé ce site dans nos commentaires, mais ça nous semble assez digne de mention pour en faire l‘objet d‘un billet (et créer une catégorie “insolite”). Dans la lignée du Parti rhinocéros d‘antan (sans toutefois présenter de candidats) et des Zapartistes, le PIRE – pour “Parti de l‘immonde racaille économique” – se sert des campagnes électorales pour passer un message politique avec humour. Et à notre sens, c‘est pas mal plus amusant et moins opportuniste que le très peu pertinent Parti bleue et son chef Jonathan Bleue qui avaient sévi au fédéral il y a quelques années.
Bref, ne cherchez pas le PIRE sur votre bulletin de vote le 26 mars prochain, c‘est peine perdue. Si vous cherchez un exutoire pour exprimer un mécontentement contre la classe politique, il faudra trouver autre chose.
Qu‘est-ce que le PIRE?
Le PIRE est un tout nouveau parti qui fait son entrée dans l‘arène politique. En quoi diffère-t-il des partis traditionnels ? Il a le courage de ses idées et sait prendre les moyens qu‘il faut pour les imposer. Plutôt que de préconiser, comme le font les partis adverse, de lourdes réformes et une libéralisation progressive, le PIRE prône un État hautement militarisé ainsi que la destruction de nos couteux et inutiles services publiques. Dans un contexte de mondialisation, c‘est la seule voie possible vers la prospérité et le bonheur.
Les réguliers de ce site l‘auront probablement deviné: nous sommes maniaques des sondages politiques (avec toute la rigueur que ce type d‘outil demande en science politique, bien entendu). Alors, quand Jean-Marie De Koninck, professeur de mathématiques à l‘Université Laval, fait la suggestion suivante, nous ne pouvons nous empêcher de songer à toutes les conséquences que cette idée utopique pourrait entraîner, à défaut d‘y croire.
Il n‘est peut-être pas loin, le jour où l‘expression “gouverner avec l‘oeil sur les sondages” aura une connotation positive plutôt que préjorative:
Le mardi 20 février 2007
VERS LE 26 MARS JOUR 1
Pourquoi pas un sondage électoral ?
Pierre Asselin
Le Soleil
Québec
La marge d‘erreur d‘une élection générale est plus grande que celle d‘un sondage, estime le mathématicien Jean-Marie De Koninck. Dans ces conditions, pourquoi ne pas laisser tomber là méthode électorale pour élire nos représentants au moyen d‘un sondage scientifique?
Un échantillon de 1067 personnes choisies statistiquement donnerait une meilleure image que le vote de 60% des 5,5 millions d‘électeurs inscrits. Pourquoi? Parce que tous les groupes ne sont pas également représentés dans une élection générale. Les démunis et les moins instruits votent moins que les autres groupes, par exemple.
« C‘est la première élection de Rush aux États-Unis, en 2000, qui m’y a fait penser. Seulement 47% des Américains admissibles étaient allés voter. Ça veut dire qu‘il n‘a été élu que par 24 % de la population Ce n‘est pas représentatif, particulièrement des Noirs et des pauvres.
On se demande, est-ce qu‘il n‘y aurait pas une façon plus efficace d‘élire nos représentants? Je pense tout de suite aux sondages Pourquoi ne pas y aller d‘une manière scientifique? On prend un échantillon de 1000 personnes avec le bon pourcentage de femmes, d‘hommes, de classes sociales, de nations autochtones, de minorités, etc.
Le prof de Laval avait développé cette thèse l‘automne dernier dans la revue Découvrir. C‘est scientifiquement démontré, explique-t-il, qu‘avec un échantillon de 1067 personnes, la marge d‘erreur n‘est que de 3 %, peu importe la taille de la population. Pour une marge d‘erreur de 2 %, il faut monter à 2 400 personnes et pour 1 % d‘erreur, il faut un échantillon de 9 600 personnes.
L‘idée du prof, c‘est de choisir un échantillon représentatif et de donner 1000 $ à chaque électeur pour l‘inciter, à aller voter. Même pour un échantillon de 9 600 personnes, ça ne ferait que 9,6 millions $, en regard des 250 millions $ que coûte une élection générale.
«Les gens vont dire que ça n‘a pas de bon sens, que ça viole le principe de démocratie. Je leur répondrais que c‘est vrai, mais le problème, c‘est qu‘ils ne vont pas voter.»
VOTE OBLIGATOIRE
En Australie, les taux de participation aux élections dépassent 90%. C‘est parce que dans ce pays comme dans une vingtaine d‘autres, le vote est obligatoire et l‘amende est de 20$ pour ceux qui s‘abstiennent de voter La marge d‘erreur est donc beaucoup moins grande.
Le Parti démocrate australien compare cette obligation à d‘autres qui sont faites aux citoyens : siéger comme juré, recevoir une éducation ou payer ses taxes. Jean-Marie De Koninck serait-il pour autant favorable à un tel système?
«Je ne serais pas d‘accord avec ça, je trouve que c‘est aller un peu loin. Je serais favorable à plus d‘information, parce que les gens ne se rendent pas compte que leur vote peut avoir un impact. »
Il préfère réfléchir à des mesures qui inciteraient le citoyen à aller voter Par exemple, améliorer l‘environnement physique des endroits où on va voter en offrant des beignes, du café, de l‘animation, etc.
«Tant qu‘à parler de probabilité, pourquoi ne pas faire tirer 10 voitures écologiques parmi tous ceux et celles qui exercent leur droit de vote? Chaque électeur aurait une chance sur 500 000 de gagner une voiture; c‘est 28 fois plus de chances que de gagner à la 6/49, où la probabilité est d‘une sur 14 millions Je parierais que le taux de participation passerait alors des 60% actuels à plus de 95%!»
Ça n‘a rien à voir avec la politique, mais je vous rapporte quand même l‘histoire suivante (qui nous rappelle qu‘il faudrait bien, un de ces quatre, créer une catégorie “Insolite” ou “Rions, c‘est l‘heure” dans ce blogue).
Le Soleil de Valleyfield raconte dans son édition de cette semaine l‘histoire d‘un résident de Valleyfield qui, à la suite de nombreuses amendes impayées, doit la modique somme de 1 256$ à la municipalité. Une histoire tout ce qui est de plus banale à première vue. Toutefois, ça commence à sortir de l‘ordinaire lorsqu‘on parle du mode de paiement, l‘individu en question, un dénommé Gabriel Cardinal, ayant acquitté la somme… en cennes noires!
Ce sont donc 125 600 pièces de 1 cent qui ont été livrées à la Cour municipale de Salaberry-de-Valleyfield, rubis sur l‘ongle.
Voir le reste de l‘histoire ici avec, en prime, la réponse à la question que vous vous posez sans doute: a-t-il payé ses 125 600 cents en rouleaux, oui ou non?