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Un retour peu surprenant dans Arthabaska
Ça serait assez facile de dire «on vous l‘avait bien dit», mais nous avons le triomphe modeste. 🙂 Dès son discours d‘acceptation à la suite de son élection comme président de l‘Association libérale d‘Arthabaska, l‘ex-député d‘Arthabaska (2003-2007), Claude Bachand (LIB), a annoncé qu‘il serait candidat à l‘investiture en vue de la prochaine élection générale…
Selon La Nouvelle, l‘assemblée de mise en candidature pourrait avoir lieu l‘automne prochain.
QuébecPolitique.com: 39e élection générale
Sondage CROP de juin 2008
Si on se fie aux résultats du dernier sondage CROP-Express sur le climat politique au Québec, dont les résultats sont dévoilés ce matin dans La Presse, ce n‘est plus si sûr que des élections générales anticipées sont proches. Après répartition proportionnelle des 13% d‘indécis (-1), les intentions de vote sont les suivantes (les chiffres entre parenthèses indiquent la variation par rapport au dernier sondage CROP réalisé en mai):
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LIB: 36% (-5)
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PQ: 31% (-1)
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ADQ: 17% (+3)
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VRT: 7% (+1)
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QS: 8% (+2)
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Autres: 0% (-1)

Avant répartition des indécis, les résultats vont comme suit: LIB: 31%, PQ: 17%, ADQ: 15%, QS: 7%, VRT: 6%, autres: 0%.
Étrangement, le PQ est au 1er rang dans le Québec métropolitain (32%), suivi par les libéraux (28%) et l‘ADQ (26%). Toutefois, comme ça repose sur 179 répondants et que c‘est assez inhabituel que le PQ mène dans cette région, nous préférons attendre que le phénomène se répète dans les prochains sondages (s‘il y a lieu) avant de commencer à y croire. En tout cas, ça nous conforte dans l‘idée de lire les résultats des sous-échantillons régionaux avec une extrême prudence.
Pour ce qui est des autres faits saillants du sondage, mentionnons les suivants:
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Taux de satisfaction: 54% (=) des répondants affirment être «très» ou «plutôt» satisfaits à l‘endroit du gouvernement Charest tandis que 42% (=) d‘entre eux se disent être«très» ou «plutôt» insatisfaits.
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Vote francophone: PQ: 37%, LIB: 30%, ADQ: 19%, QS: 9%, VRT: 6%.
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Vote non-francophone: LIB: 66%, VRT: 13%, ADQ: 11%, QS: 5%, PQ: 4%.
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Meilleur premier ministre: Jean Charest (LIB): 35% (+4), Pauline Marois (PQ): 33% (=), Mario Dumont (ADQ): 15% (+2). (10% n‘en préfèrent aucun et 7% sont indécis.
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Souveraineté: 40% (-1) des répondants voteraient «oui» lors d‘un référendum sur la souveraineté du Québec et 60% (+1) voteraient «non».
Le rapport d‘analyse de CROP est disponible ici (format Word).
Le sondage téléphonique a été réalisé du 12 au 23 juin 2008 auprès de 1 001 répondants. La marge d‘erreur est de +/- 3,1%, 19 fois sur 20. Les résultats ont été pondérés sur la base du Recensement du Canada de 2006 afin de refléter la distribution de la population adulte du Québec selon le sexe, l‘âge, la région de résidence des répondants et leur langue d‘usage à la maison.
Le Parti indépendantiste a dévoilé il y a 3 jours (le 23 juin) l‘identité des 2 premiers candidats à l‘investiture dans la région de la Capitale-Nationale. Dans Montmorency, le premier aspirant-candidat (et le seul pour l‘instant) est Luc Duranleau, entrepreneur en haute technologie, tandis que dans Taschereau, il n‘y a qu‘un seul aspirant-candidat, soit Claude Blais, préposé au stationnement et ex-militant péquiste qui a oeuvré lors de plusieurs campagnes électorale.
La date des 2 assemblées d‘investiture sera dévoilée à une date ultérieure.
(sources: Parti indépendantiste et Le Soleil)
QuébecPolitique.com: 39e élection générale
Liens du 2008-06-25
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Info07, 25 juin 2008
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Journal Le Nord, 24 juin 2008
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La Nouvelle, 25 juin 2008
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La Nouvelle, 25 juin 2008
Il n‘y avait plus grand monde pour penser qu‘après plusieurs jours de «réflexion», celle-ci allait résulter par autre chose qu‘une démission. Le député de Jean-Talon et ministre de la Santé et des Services sociaux, Philippe Couillard (LIB) a donc annoncé officiellement son retrait de la vie politique ce matin tandis que la nomination d‘Yves Bolduc comme ministre de la Santé et des Services sociaux et candidat libéral dans Jean-Talon a été confirmée cet après-midi.
Ceci ouvre donc la campagne électorale dans Jean-Talon, le scrutin ayant été annoncé pour le 22 septembre prochain. Comme d‘habitude, toutes les infos pertinentes sont disponibles sur notre site.
Bonne fête nationale!
Surtout, profitez de l‘occasion pour participer aux nombreuses activités organisées dans toutes les régions du Québec et, pourquoi pas, écouter les 10 meilleures «tounes» sur le Québec compilées par Jean-Christophe Laurence dans La Presse. Nous avons 2 d‘entre-elles ci-dessous.
Si ça se trouve, on pourrait avoir non pas 1, mais 2 élections partielles à l‘automne:
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Jean-Talon: le député de Jean-Talon et ministre de la Santé et des Services sociaux, Philippe Couillard (LIB), n‘a pas encore terminé sa «réflexion» sur son avenir politique, mais déjà , on suppute sur l‘identité de son (éventuel) successeur dans Jean-Talon. Le nom de Yves Bolduc, médecin et candidat défait (LIB) lors de l‘élection générale de 2007 dans Lac-Saint-Jean, circulerait présentement dans les cercles libéraux. Il semble que l‘État-major du parti lui avait offert un comté dans la région de Québec l‘année dernière, mais à l‘époque, il avait préféré faire campagne au Lac-Saint-Jean (source: La Presse);
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Jeanne-Mance–Viger: le député de Jeanne-Mance–Viger et président de l‘Assemblée nationale, Michel Bissonnet (LIB), songerait à quitter la politique québécoise pour devenir candidat à la mairie d‘arrondissement de Saint-Léonard sous l‘étiquette du parti Union Montréal (poste devenu vacant à la suite de la démission du maire d‘arrondissement Frank Zampino). Le cas échéant, son siège à l‘Assemblée nationale deviendrait vacant. M. Bissonnet siège sans interruption à l‘Assemblée nationale depuis 1981 (il a représenté la circonscription de Jeanne-Mance de 1981 à 2003). Il fut également maire de l‘ex-ville de Saint-Léonard de 1978 à 1981 (source: La Presse).
QuébecPolitique.com: 39e élection générale
Mercredi dernier avait lieu une des rares assemblées d‘investiture opposant plusieurs candidats: l‘investiture du Parti québécois dans Sherbrooke. Laurent-Paul Maheux, vice-président à l‘organisation et à la mobilisation au Conseil exécutif national du PQ, a finalement obtenu sa revanche contre Claude Forgues, candidat défait (PQ) lors de l‘élection générale de 2007 dans Sherbrooke. Selon La Tribune, le score aurait été de 150 voix à 99 en faveur de M. Maheux. M. Maheux est actuellement agent de relations humaines en protection de la jeunesse au Centre Jeunesse de l‘Estrie.
Circonscription de Sherbrooke – Laurent-Paul Maheux sera le candidat officiel du Parti Québécois
SHERBROOKE, QC, le 18 juin /CNW Telbec/ – Réunis en assemblée d‘investiture, les membres du Parti Québécois de la circonscription de Sherbrooke ont élu Laurent-Paul Maheux afin de les représenter à titre de candidat du parti lors de la prochaine campagne électorale.
“C‘est avec beaucoup de fierté que j’accepte le mandat que les membres de mon parti viennent de me confier. Avec eux, je ferai tout en mon pouvoir pour que le Parti Québécois ravisse la circonscription de Sherbrooke à Jean Charest. Les citoyennes et les citoyens de Sherbrooke ont suffisamment goûté à la médecine libérale. Il est temps que ça change et ce changement c‘est le Parti Québécois qui l‘incarne”, a déclaré Laurent-Paul Maheux.
Diplômé de l‘Université de Sherbrooke en service social, Laurent-Paul Maheux est présentement agent de relations humaines en protection de la jeunesse au Centre Jeunesse de l‘Estrie. Militant du Parti Québécois de longue date, il a notamment été attaché politique de la députée de Sherbrooke, Marie Malavoy, de 1994 à 1998 et il est actuellement vice-président à l‘organisation et la mobilisation au conseil exécutif national du Parti Québécois.
“Depuis son retour à la tête du Parti Québécois, Pauline Marois insuffle un vent de changement que je trouve particulièrement stimulant et auquel je souhaite participer. C‘est entre autres pour cette raison que j’ai décidé de me lancer en politique. Si les électrices et électeurs de Sherbrooke me font confiance, ils pourront compter sur un député enthousiaste et près des préoccupations des femmes et des hommes de notre circonscription”, a conclu Laurent-Paul Maheux.
Source: Parti Québécois
Par ailleurs, c‘est sans surprise que l‘ex-députée de Mirabel, Denise Beaudoin (PQ), a été élue par acclamation lors de l‘investiture du PQ dans Mirabel le 16 juin dernier.
Ces 2 assemblées d‘investiture viennent clore la ronde de nominations du PQ pour le printemps 2008. Les prochaines assemblées devraient être convoquées pour l‘automne, à moins que la probable démission de Philippe Couillard ne force une nomination rapide dans Jean-Talon.
QuébecPolitique.com: 39e élection générale
Liens du 2008-06-20
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LCN, 19 juin 2008
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Presse canadienne, 19 juin 2008
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Courrier Ahuntsic, 20 juin 2008
Couillard ne réfléchit plus…
Rumeur confirmée selon La Presse: le député de Jean-Talon et ministre de la Santé et des Services sociaux, Philippe Couillard (LIB), quitterait ses fonctions la semaine prochaine pour un nouvel emploi, soit dans le privé, soit dans une organisation internationale.
Par conséquent, une éventuelle élection partielle dans Jean-Talon pourrait avoir lieu à peu près d‘ici le début de février, si l‘Assemblée nationale n‘est pas dissoute entre-temps. De plus, un remaniement ministériel s‘annonce en même temps où la démission de M. Couillard deviendra effective.
QuébecPolitique.com: 39e élection générale
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Couillard réfléchit…
4 billets en 24 heures: qui a dit qu‘il ne se passait rien en politique québécoise ces temps-ci? Selon TVA/LCN, le ministre de la Santé et des Services sociaux, Philippe Couillard (LIB), serait en pleine réflexion sur son avenir politique. On invoque bien entendu les sempiternelles «raisons familiales» pour expliquer cette (possible) remise en question de sa carrière politique, mais également des questions salariales. La Presse canadienne en parle également.
La suite d‘ici la fin de l‘été, si suite il y a.
QuébecPolitique.com: 39e élection générale
Poursuivez la lecture de «Couillard réfléchit…»→
Le PQ à l’opposition officielle?
Le Journal de Montréal, inspiré d’un article paru mardi dans Le Courrier parlementaire (accès réservé aux abonnés), a publié ce matin une nouvelle en 2 temps: d’abord, le Parti québécois tenterait activement de recruter des députés de l’Action démocratique du Québec. Ensuite, si le PQ devait parvenir à recruter 3 transfuges adéquistes, la députation péquiste dépasserait celle de l’ADQ (39 à 38) et on compterait alors demander le statut d’opposition officielle.
Le premier aspect de la nouvelle est assez vague car on ne nomme pas de noms (à part celui de la députée de Groulx, Linda Lapointe (ADQ), pour rappeler son hésitation entre le PQ et l’ADQ avant l’élection de 2007, mais pas plus que ça). Probablement que des noms vont sortir au cours des prochains jours. Pariez que des journalistes font déjà le «scan» des députés adéquistes qui ont déjà milité dans les instances du PQ ou d’organisations souverainistes pour essayer de leur tirer les vers du nez, surtout ceux qui, comme le député de Berthier, François Benjamin (ADQ), ont déjà eu à démentir de telles rumeurs.
Pour un historique des transfuges des dernières années, nous vous référons à cet article que nous avions écrit à l’époque où des rumeurs envoyaient l’ex-député de Groulx (!!!), Pierre Descôteaux (LIB), au PQ. Notons que nous avons une définition plus restrictive de «transfuge» que le Journal de Montréal puisque la compilation QuébecPolitique.com n’inclut que les transferts «directs» (c’est-à -dire ceux qui passent directement d’un aprti à l’autre, comme Claude Dubois et Camil Samson; les députés qui siègent comme indépendants ne comptent pas) tandis que la compilation JdeM (format jpg) inclut les transferts «indirects» (c’est-à -dire les députés qui quittent leur parti, siègent quelques mois comme indépendants et adhèrent à un autre parti, comme Rodrigue Biron ou Richard Holden).
Quant au deuxième aspect, soit le PQ qui deviendrait l’opposition officielle, il repose sur une hypothèse qui n’a pas encore été vérifiée en droit parlementaire québécois: est-il possible d’avoir un changement de parti politique occupant les banquettes de l’opposition officielle en pleine législature (et non pas entre 2 élections comme c’est le cas normalement)?
La réponse courte est: on ne le sait pas.
La réponse longue est: il y a des arguments à la fois pour le changement et pour le statu quo.
- Pour le statu quo (l’ADQ qui reste à l’opposition officielle), il y a les dispositions du Règlement de l’Assemblée nationale sur la formation des groupes parlementaires. L’article 13 du Règlement définit un groupe parlementaire comme
Tout groupe d’au moins douze députés élus sous la bannière d’un même parti politique, ou tout groupe de députés élus sous la bannière d’un parti politique qui a obtenu au moins 20 % des voix aux plus récentes élections générales, constitue un groupe parlementaire.
La notion de députés «élus sous la bannière d’un même parti politique» est centrale dans la définition car elle empêcherait la reconnaissance en plein milieu d’une législature d’un groupe de 12 députés ayant formé un nouveau parti puisqu’ils ne seraient pas élus sous l’étiquette de ce parti. Par extension, on pourrait argumenter que si un groupe parlementaire avait le statut d’opposition officielle au début d’une législature, le fait de tomber en 3e place (en termes de nombre de députés) ne devrait pas remettre ce statut en cause.
- Pour le changement (le PQ qui devient l’opposition officielle), il y a le fait que la reconnaissance de l’opposition officielle ne découle pas du Règlement, mais plutôt des conventions constitutionnelles (celles voulant que l’opposition est le «gouvernement en attente», que l’«opposition de sa majesté» peut remplacer le «gouvernement de sa majesté» si la Chambre lui accorde sa confiance, etc.). Bien qu’il y ait plusieurs articles de loi ou de règlement qui traitent de l’opposition (il s’agit d’articles d’ordre secondaire sur la rémunération du chef, du leader ou du whip, du temps de parole du chef de l’opposition officielle à diverses occasions, etc.) aucun article n’indique nommément comment et sur quelles bases l’opposition officielle est désignée (en d’autres termes, cette expression n’a pas de statut officiel. Par extension, on pourrait donc argumenter que si le gouvernement devait perdre la confiance de la Chambre, c’est le 2e groupe le plus nombreux qui aurait le plus de chances de le remplacer et que le titre d’«opposition officielle» devrait venir avec cet état de fait.
En cas de doute, ce serait donc au président de la chambre de trancher:
Si le nombre de députés ne fait pas ressortir clairement le groupe qui forme l’opposition officielle, il appartient au Président de désigner ce groupe (Arthur Beauchesne, Règlement annoté et formulaire de la Chambre des communes, 6e éd., Toronto, Carswell, 1991, p. 57 et 58, cité dans La procédure parlementaire au Québec (format pdf)).
Probablement qu’il y a des comparables dans d’autres démocraties parlementaires de type Westminster, mais nous n’avons pas fait de recherche en ce sens. Il y a bien le cas de la Chambre des communes où, en 1997, l’opposition officielle (qui était alors le Bloc québécois) est tombée à égalité avec le 3e parti (le Reform Party), mais comme la législature a été dissoute peu de temps après, il n’y a probablement pas d’enseignements à en tirer.
Mais d’abord, il faut que la députation péquiste dépasse celle de l’ADQ, et ce n’est pas encore chose faite. Et peu importe à qui reviendrait le statut d’opposition officielle, l’effet combiné de plusieurs transfuges adéquistes ne risque pas d’avoir un impact important à l’Assemblée nationale, mais plutôt à l’extérieur du Parlement puisque ça alimenterait la perception que «le PQ a le vent dans les voiles», que «l’ADQ est en difficultés», etc.
Sondage Léger Marketing de juin 2008
À lire dans Le Devoir: le dernier sondage Léger Marketing sur la situation politique au Québec. Après répartition proportionnelle des indécis, les intentions de vote de la population québécoise seraient les suivantes (les chiffres entre parenthèses indiquent la variation par rapport au dernier sondage de Léger Marketing d‘avril 2008):
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LIB: 42% (+5)
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PQ: 32% (-1)
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ADQ: 14% (-4)
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VRT: 7% (+1)
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QS: 4% (=)
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Autres: 1% (-1)
Les variations ont l‘air importantes à première vue, mais lorsqu‘on compare au dernier sondage CROP, plus récent, il y a peu de mouvement depuis mai.

À part ça, qu‘y a-t-il d‘autre dans le sondage?
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Vote francophone: PQ 36%, LIB 35%, ADQ 17%, autres 12%.
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Meilleur premier ministre: Jean Charest: 36% (+4), Pauline Marois: 31% (+1%), Mario Dumont: 15% (-3%), Françoise David: 4% (+1), Guy Rainville: 2% (=).
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Taux de satisfaction: 57% (+8%) des répondants se disent satisfaits du gouvernement de Jean Charest tandis que 40% (-6%) affirment être insatisfaits.
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Souveraineté: Si un référendum sur la souveraineté du Québec avait lieu aujourd‘hui, 42% voteraient pour et 58% voteraient contre. C‘est le même score qu‘en avril.
Le rapport d‘analyse de Léger Marketing sera bientôt disponible. On vous tient au courant.
Le sondage a été réalisé les 11 au 15 juin 2008 auprès de 1 000 répondants. La marge d‘erreur est de 3,1%, 19 fois sur 20. Les données finales ont été pondérées selon le sexe et l‘âge de façon à être représentatives de la population selon les dernières données de Statistique Canada.
PQ: un 1er aspirant-candidat dans Nicolet-Yamaska
Il y a quelques semaines, Donald Martel se retirait de la course à l‘investiture du Parti québécois dans Nicolet-Yamaska. À la suite du retrait du candidat péquiste en 2007, un premier aspirant-candidat a dévoilé sa candidature. Il s‘agit de M. Jean-Martin Aussant, un «professionnel du monde de la finance» (vraisemblablement un économiste d‘après l‘article d‘où nous tirons cette nouvelle). Il semblerait qu‘actuellement, M. Aussant n‘occupe pas de fonctions officielles au sein du parti.
Malgré cette première candidature, il semblerait que la date de l‘assemblée d‘investiture n‘ait pas encore été déterminée par la permanence du PQ.
(source: Le Courrier Sud)
QuébecPolitique.com: 39e élection générale
ADQ: Robert Goulet dans Laval-des-Rapides
Robert Goulet, fondateur du Centre International Invention Innovation et candidat défait (ADQ) lors de l‘élection générale de 2007 dans Laval-des-Rapides, portera à nouveau les couleurs de l‘Action démocratique du Québec lors de la prochaine élection générale. L‘Assemblée d‘investiture de l‘ADQ dans Laval-des-Rapides, où il était le seul candidat, avait lieu mardi soir dernier.
M. Goulet avait obtenu près de 28% des voix en 2007 dans Laval-des-Rapides, terminant au 3e rang derrière les candidats libéral et péquiste.
(source: Courrier Laval)
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