
Gerry Sklavounos (LIB), député de Laurier-Dorion
La circonscription
Aperçu historique
La circonscription électorale de Laurier-Dorion fut créée en 1994 à partir de la fusion des circonscriptions de Laurier et de Dorion.
Origines de la désignation
La première partie de ce toponyme fait référence à l’ancienne Ville de Laurier, située dans cette circonscription, annexée à la Ville de Montréal en 1909, dont le nom honore la mémoire de Wilfrid Laurier (1841-1919), homme politique et premier ministre du Canada (1896-1911). La deuxième partie honore la mémoire d’Antoine-Aimé Dorion (1818-1891), homme politique, juge et co-premier ministre du Canada-Uni (1858 et 1863-1864).
Profil de Laurier-Dorion
Population électorale
Lors de l’élection générale tenue le 8 décembre 2008, 47 097 électeurs étaient inscrits dans la circonscription électorale de Laurier-Dorion. Lors des autres scrutin tenus au cours des dernières années, la situation était la suivante(1):
Date | Type de scrutin | Électeurs (n) |
---|---|---|
2008 | Élection générale | 47 097 |
2007 | Élection générale | 47 121 |
2004 | Élection partielle | 47 107 |
2003 | Élection générale | 47 705 |
1998 | Élection générale | 45 792 |
1995 | Référendum | 45 569 |
1994 | Élection générale | 41 718 |
1992 | Référendum | |
1989 | Élection générale |
Le nombre d’électeurs inscrits dans la circonscription électorale de Laurier-Dorion lors de la prochaine élection générale n’est pas encore connu, compte tenu de l’existence d’une liste électorale permanente qui permet des ajouts dans les jours précédant le scrutin.
Informations supplémentaires
Pour de plus amples informations sur la circonscription électorale de Laurier-Dorion et son électorat, veuillez consulter le Profil socio-économique de la circonscription de Laurier-Dorion (format pdf; produit par le Directeur général des élections du Québec).
Notes:
- Les chiffres mentionnés ici sont tirés des rapports officiels des résultats du scrutin publiés par le Directeur général des élections du Québec à la suite des élections générales de 1989, 1994, 1998, 2003, 2007 et 2008 de même qu’à la suite des référendums de 1992 et 1995. (↩)