
Alain Paquet (LIB), député de Laval-des-Rapides
La circonscription
Aperçu historique
La circonscription électorale de Laval-des-Rapides fut créée en 1981 à partir de la partie ouest de la circonscription de Laval.
Origines de la désignation
La première partie de ce toponyme honore la mémoire de monseigneur François de Laval (1623-1708), vicaire apostolique de la Nouvelle-France, puis premier évêque de Québec (1658-1688), à qui la seigneurie de l’île Jésus, où cette circonscription est située, fut concédée en 1676. La seconde partie évoque la présence, à cet endroit, d’une des caractéristiques du cours de la rivière des Prairies, qui borde cette circonscription.
Profil de Laval-des-Rapides
Population électorale
Lors de l’élection générale tenue le 8 décembre 2008, 49 100 électeurs étaient inscrits dans la circonscription électorale de Laval-des-Rapides. Lors des autres scrutin tenus au cours des dernières années, la situation était la suivante(1):
Date | Type de scrutin | Électeurs (n) |
---|---|---|
2008 | Élection générale | 49 100 |
2007 | Élection générale | 48 667 |
2003 | Élection générale | 49 259 |
1998 | Élection générale | 39 279 |
1995 | Référendum | 39 120 |
1994 | Élection générale | 37 451 |
1993 | Élection partielle | 35 961 |
1992 | Référendum | 38 797 |
1989 | Élection générale | 39 118 |
Le nombre d’électeurs inscrits dans la circonscription électorale de Laval-des-Rapides lors de la prochaine élection générale n’est pas encore connu, compte tenu de l’existence d’une liste électorale permanente qui permet des ajouts dans les jours précédant le scrutin.
Informations supplémentaires
Pour de plus amples informations sur la circonscription électorale de Laval-des-Rapides et son électorat, veuillez consulter le Profil socio-économique de la circonscription de Laval-des-Rapides (format pdf; produit par le Directeur général des élections du Québec).
Notes:
- Les chiffres mentionnés ici sont tirés des rapports officiels des résultats du scrutin publiés par le Directeur général des élections du Québec à la suite des élections générales de 1989, 1994, 1998, 2003, 2007 et 2008 de même qu’à la suite des référendums de 1992 et 1995. (↩)