
Dave Turcotte (PQ), député de Saint-Jean
La circonscription(1)
Aperçu historique
La circonscription électorale de Saint-Jean fut créée en 1867. L’orthographe de ce nom fut «St. Jean» de 1867 à 1912, puis «St-Jean» de 1912 à 1923.
Origines de la désignation
Ce toponyme fait référence au village de Saint-Jean (aujourd’hui Saint-Jean-sur-Richelieu), situé dans cette circonscription, et fondé en 1845, lequel fait allusion au fort Saint-Jean, érigé une première fois en 1666, et à la paroisse de Saint-Jean-l’Évangéliste, fondée en 1667.
Profil de Saint-Jean
Population électorale
Lors de l’élection générale tenue le 8 décembre 2008, 56 690 électeurs étaient inscrits dans la circonscription électorale de Saint-Jean. Lors des autres scrutin tenus au cours des dernières années, la situation était la suivante(2):
Date | Type de scrutin | Électeurs (n) |
---|---|---|
2008 | Élection générale | 56 690 |
2007 | Élection générale | 55 041 |
2003 | Élection générale | 50 840 |
1998 | Élection générale | 51 634 |
1995 | Référendum | 48 991 |
1994 | Élection spéciale | 47 426 |
1994 | Élection générale | N.D. |
1992 | Référendum | 50 343 |
1989 | Élection générale | 47 722 |
Le nombre d’électeurs inscrits dans la circonscription électorale de Saint-Jean lors de la prochaine élection générale n’est pas encore connu, compte tenu de l’existence d’une liste électorale permanente qui permet des ajouts dans les jours précédant le scrutin.
Informations supplémentaires
Pour de plus amples informations sur la circonscription électorale de Saint-Jean et son électorat, veuillez consulter le Profil socio-économique de la circonscription de Saint-Jean (format pdf; produit par le Directeur général des élections du Québec).
Notes:
- Pour alléger le texte, nous employons ici le terme «circonscription électorale», même s’il n’a pas toujours été employé dans la législation électorale et qu’il constitue, dans certains contextes, un anachronisme. (↩)
- Les chiffres mentionnés ici sont tirés des rapports officiels des résultats du scrutin publiés par le Directeur général des élections du Québec à la suite des élections générales de 1989, 1994, 1998, 2003, 2007 et 2008 de même qu’à la suite des référendums de 1992 et 1995. (↩)