Martin Lemay (PQ), député de Sainte-Marie–Saint-Jacques
La circonscription
Aperçu historique
La circonscription électorale de Sainte-Marie–Saint-Jacques fut créée en 1989 à partir de la fusion des circonscriptions de Sainte-Marie et de Saint-Jacques.
Origines de la désignation
La première partie de ce toponyme évoque l’ancien faubourg Sainte-Marie de la Ville de Montréal, situé dans cette circonscription, dont le nom évoque le courant du fleuve Saint-Laurent passant à cet endroit. La deuxième partie évoque l’ancienne église Saint-Jacques-le-Majeur, située dans cette circonscription, construite en 1823, dont le nom honorait la mémoire de monseigneur Jean-Jacques Lartigue (1777-1840), premier évêque de Montréal.
Profil de Sainte-Marie–Saint-Jacques
Population électorale
Lors de l’élection générale tenue le 8 décembre 2008, 42 530 électeurs étaient inscrits dans la circonscription électorale de Sainte-Marie–Saint-Jacques. Lors des autres scrutin tenus au cours des dernières années, la situation était la suivante(1):
| Date | Type de scrutin | Électeurs (n) |
|---|---|---|
| 2008 | Élection générale | 42 530 |
| 2007 | Élection générale | 42 150 |
| 2006 | Élection partielle | 42 437 |
| 2003 | Élection générale | 43 199 |
| 1998 | Élection générale | 46 950 |
| 1995 | Référendum | 45 963 |
| 1994 | Élection générale | 41 452 |
| 1992 | Référendum | 40 597 |
| 1989 | Élection générale | 40 539 |
Le nombre d’électeurs inscrits dans la circonscription électorale de Sainte-Marie–Saint-Jacques lors de la prochaine élection générale n’est pas encore connu, compte tenu de l’existence d’une liste électorale permanente qui permet des ajouts dans les jours précédant le scrutin.
Informations supplémentaires
Pour de plus amples informations sur la circonscription électorale de Sainte-Marie–Saint-Jacques et son électorat, veuillez consulter le Profil socio-économique de la circonscription de Sainte-Marie–Saint-Jacques (format pdf; produit par le Directeur général des élections du Québec).
Notes:
- Les chiffres mentionnés ici sont tirés des rapports officiels des résultats du scrutin publiés par le Directeur général des élections du Québec à la suite des élections générales de 1989, 1994, 1998, 2003, 2007 et 2008 de même qu’à la suite des référendums de 1992 et 1995. (↩)
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