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Transfuges Watch (MàJ 2)
La défection des députés André Riedl et Pierre Michel Auger vers le Parti libéral a relancé plusieurs rumeurs sur d‘autres députés adéquistes qui seraient tentés de traverser la Chambre eux-aussi (Le Nouvelliste va jusqu‘à avancer que «au moins une dizaine et même une douzaine d‘autres adéquistes poursuivraient la même réflexion» que le transfuge Pierre Michel Auger). Voici donc un «wrap-up» des noms qui ont été mentionnés depuis jeudi:
- François Benjamin (Berthier): selon La Presse, son nom circule comme futur «prospect» pour le PQ, mais comme ça fait plus d‘un an qu‘il se défend de telles rumeurs, c‘est presque devenu un classique lorsqu‘il est question de transfuges adéquistes;
- Éric Charbonneau (Johnson): le chroniqueur du Soleil Gilbert Lavoie avançait ce matin qu‘en raison de la faible majorité d‘Éric Charbonneau sur le candidat péquiste en 2007, il serait tentant pour lui de joindre ses plus proches adversaires, sauf que le PQ a déjà nommé son candidat dans Johnson;
- Linda Lapointe (Groulx): son était sorti au printemps dernier, mais ça ressemblait plus à du «second guessing» qu‘à une véritable fuite dans les médias;
- Sébastien Proulx (Trois-Rivières): membre de la garde rapprochée de Mario Dumont, son nom est sorti dans Le Nouvelliste ce matin, mais on le met pour la forme vu qu‘il a démenti;
- Claude Roy (Montmagny-L‘Islet): probablement la réaction la plus bizarre des derniers jours. Selon Le Devoir, interrogé par les médias quant à savoir s‘il avait reçu une offre des libéraux, sa réponse aurait été «Malheureusement non». Du même souffle, il avance que «tout le monde [à l‘ADQ] a eu des offres».
On verra bien au cours des prochaines semaines si les vannes sont vraiment ouvertes.
Mà J (25 octobre, 20h30): les députés François Benjamin (Berthier) et Éric Laporte (L‘Assomption) ont admis ce matin à La Presse avoir été approchés par le PQ. Tous deux ont réitéré leur intention de rester à l‘ADQ. Même chose pour Claude Roy (Montmagny-L‘Islet) qui, jeudi dernier, affirmait n‘avoir «malheureusement» pas reçu d‘offre des libéraux.
MàJ (26 octobre, 20h30): un autre à ajouter dans la liste: Jean-François Therrien (Terrebonne) a refusé une offre des libéraux.
Le PQ à l’opposition officielle?
Le Journal de Montréal, inspiré d’un article paru mardi dans Le Courrier parlementaire (accès réservé aux abonnés), a publié ce matin une nouvelle en 2 temps: d’abord, le Parti québécois tenterait activement de recruter des députés de l’Action démocratique du Québec. Ensuite, si le PQ devait parvenir à recruter 3 transfuges adéquistes, la députation péquiste dépasserait celle de l’ADQ (39 à 38) et on compterait alors demander le statut d’opposition officielle.
Le premier aspect de la nouvelle est assez vague car on ne nomme pas de noms (à part celui de la députée de Groulx, Linda Lapointe (ADQ), pour rappeler son hésitation entre le PQ et l’ADQ avant l’élection de 2007, mais pas plus que ça). Probablement que des noms vont sortir au cours des prochains jours. Pariez que des journalistes font déjà le «scan» des députés adéquistes qui ont déjà milité dans les instances du PQ ou d’organisations souverainistes pour essayer de leur tirer les vers du nez, surtout ceux qui, comme le député de Berthier, François Benjamin (ADQ), ont déjà eu à démentir de telles rumeurs.
Pour un historique des transfuges des dernières années, nous vous référons à cet article que nous avions écrit à l’époque où des rumeurs envoyaient l’ex-député de Groulx (!!!), Pierre Descôteaux (LIB), au PQ. Notons que nous avons une définition plus restrictive de «transfuge» que le Journal de Montréal puisque la compilation QuébecPolitique.com n’inclut que les transferts «directs» (c’est-à -dire ceux qui passent directement d’un aprti à l’autre, comme Claude Dubois et Camil Samson; les députés qui siègent comme indépendants ne comptent pas) tandis que la compilation JdeM (format jpg) inclut les transferts «indirects» (c’est-à -dire les députés qui quittent leur parti, siègent quelques mois comme indépendants et adhèrent à un autre parti, comme Rodrigue Biron ou Richard Holden).
Quant au deuxième aspect, soit le PQ qui deviendrait l’opposition officielle, il repose sur une hypothèse qui n’a pas encore été vérifiée en droit parlementaire québécois: est-il possible d’avoir un changement de parti politique occupant les banquettes de l’opposition officielle en pleine législature (et non pas entre 2 élections comme c’est le cas normalement)?
La réponse courte est: on ne le sait pas.
La réponse longue est: il y a des arguments à la fois pour le changement et pour le statu quo.
- Pour le statu quo (l’ADQ qui reste à l’opposition officielle), il y a les dispositions du Règlement de l’Assemblée nationale sur la formation des groupes parlementaires. L’article 13 du Règlement définit un groupe parlementaire comme
Tout groupe d’au moins douze députés élus sous la bannière d’un même parti politique, ou tout groupe de députés élus sous la bannière d’un parti politique qui a obtenu au moins 20 % des voix aux plus récentes élections générales, constitue un groupe parlementaire.
La notion de députés «élus sous la bannière d’un même parti politique» est centrale dans la définition car elle empêcherait la reconnaissance en plein milieu d’une législature d’un groupe de 12 députés ayant formé un nouveau parti puisqu’ils ne seraient pas élus sous l’étiquette de ce parti. Par extension, on pourrait argumenter que si un groupe parlementaire avait le statut d’opposition officielle au début d’une législature, le fait de tomber en 3e place (en termes de nombre de députés) ne devrait pas remettre ce statut en cause.
- Pour le changement (le PQ qui devient l’opposition officielle), il y a le fait que la reconnaissance de l’opposition officielle ne découle pas du Règlement, mais plutôt des conventions constitutionnelles (celles voulant que l’opposition est le «gouvernement en attente», que l’«opposition de sa majesté» peut remplacer le «gouvernement de sa majesté» si la Chambre lui accorde sa confiance, etc.). Bien qu’il y ait plusieurs articles de loi ou de règlement qui traitent de l’opposition (il s’agit d’articles d’ordre secondaire sur la rémunération du chef, du leader ou du whip, du temps de parole du chef de l’opposition officielle à diverses occasions, etc.) aucun article n’indique nommément comment et sur quelles bases l’opposition officielle est désignée (en d’autres termes, cette expression n’a pas de statut officiel. Par extension, on pourrait donc argumenter que si le gouvernement devait perdre la confiance de la Chambre, c’est le 2e groupe le plus nombreux qui aurait le plus de chances de le remplacer et que le titre d’«opposition officielle» devrait venir avec cet état de fait.
En cas de doute, ce serait donc au président de la chambre de trancher:
Si le nombre de députés ne fait pas ressortir clairement le groupe qui forme l’opposition officielle, il appartient au Président de désigner ce groupe (Arthur Beauchesne, Règlement annoté et formulaire de la Chambre des communes, 6e éd., Toronto, Carswell, 1991, p. 57 et 58, cité dans La procédure parlementaire au Québec (format pdf)).
Probablement qu’il y a des comparables dans d’autres démocraties parlementaires de type Westminster, mais nous n’avons pas fait de recherche en ce sens. Il y a bien le cas de la Chambre des communes où, en 1997, l’opposition officielle (qui était alors le Bloc québécois) est tombée à égalité avec le 3e parti (le Reform Party), mais comme la législature a été dissoute peu de temps après, il n’y a probablement pas d’enseignements à en tirer.
Mais d’abord, il faut que la députation péquiste dépasse celle de l’ADQ, et ce n’est pas encore chose faite. Et peu importe à qui reviendrait le statut d’opposition officielle, l’effet combiné de plusieurs transfuges adéquistes ne risque pas d’avoir un impact important à l’Assemblée nationale, mais plutôt à l’extérieur du Parlement puisque ça alimenterait la perception que «le PQ a le vent dans les voiles», que «l’ADQ est en difficultés», etc.
Berthier reste adéquiste
Sous un gouvernement minoritaire, chaque vote compte et chaque parti, dans la mesure du possible, tente d‘attirer dans ses rangs des députés d‘autres partis politiques afin de renforcer sa propre situation en Chambre. Il s‘en suit logiquement de nombreuses rumeurs concernant le passage du député Untel dans le camp adverse, comme celles qui visaient l‘ex-député de Groulx, Pierre Descôteaux (LIB), il y a près d‘un an.
Le député de Berthier, François Benjamin (ADQ), est la dernière “victime” de ces rumeurs. En entrevue au journal L‘Action de Joliette, le député a tenu à démentir les rumeurs (qui circulent depuis un certain temps, semble-t-il) concernant une éventuelle adhésion au Parti québécois et à réitérer son appui envers le parti de Mario Dumont (ironiquement, l‘apparition de ‘l‘affaire Descôteaux” dans l‘actualité avait également été causée par un démenti du principal intéressé). Ajoutons par ailleurs qu‘aucun militant du PQ n‘est cité dans l‘article. Nous n‘avons donc ni confirmation, ni démenti concernant de possibles discussions entre l‘état-major du PQ et le député de l‘ADQ.
Nous devons admettre notre ignorance dans ce dossier et avouer qu‘à notre connaissance, c‘est la première fois qu‘une telle rumeur court au sujet du député de Berthier.
MISE À JOUR (9 août 2007, 21h30): Antoine Robitaille reprend cette histoire (accès réservé aux abonnés) dans l‘édition du Devoir de ce matin en insistant sur le fait que le député adéquiste François Benjamin “affirme qu‘il voterait OUI à un autre référendum” sur la souveraineté.
Municipal: quelques élections en mai et juin
Plus tôt cette semaine, le DGE a confirmé la tenue de quatre élections municipales partielles d‘ici la mi-juin, ce qui est pour nous le prétexte idéal de vider nos fonds de tiroirs de toutes les nouvelles du merveilleux monde municipal que nous avions en réserve depuis plusieurs jours:
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Lac-Supérieur (Laurentides): double élection partielle le 29 avril dernier alors qu‘étaient en jeu les postes de maire (devenu vacant à la suite de la démission de M. Gaétan Imbeau) et de conseiller pour le district no 1, devenu vacant à la suite de la démission du conseiller Guy Bélanger, qui avait démissionné à l‘instar de son rival Robert Demarbre (dont le siège pour le district no 4 devra éventuellement être comblé) afin d‘être candidats au poste de maire.
- Mairie: M. Robert Demarbre a été élu par 384 votes contre 130 pour Guy Bélanger
- District no 1: M. Gaétan Imbeau (oui, c‘est bien le maire démissionnaire!) a été défait par M. Michel Cloutier par le score de 51 votes à 23.
Pour ce qui est des élections à venir:
- 20 mai 2007: Mandeville (Lanaudière): élection visant à combler le poste de conseiller pour le quartier no 1, auparavant occupé par M. Gilles Robert, à laquelle participeront deux candidats: M. Jean-Claude Charpentier et Mme Lucie Hénault. Ajoutons par ailleurs qu‘à la suite de l‘élection du maire de Mandeville (Mauricie), M. François Benjamin (ADQ), comme député de Berthier, la directrice générale de la municipalité, Mme Francine Bergeron, a été élue sans opposition (ou “par acclamation”) comme mairesse de l‘endroit le 29 avril dernier.
- 27 mai 2007: Baie-Saint-Paul (Capitale-Nationale): élection visant à combler le poste de conseiller no 1 pour le district no 1, devenu vacant à la suite de la démission de la conseillère Marie-Claude Lavoie plus tôt cette année. Selon l‘hebdo Plein jour Charlevoix, un premier candidat, M. Pierre-André Thomas, serait déjà dans la course;
- 3 juin 2007: Mont-Laurier (Laurentides): élection visant à combler le poste de conseiller no 4 à la suite de la démission de la conseillère Romy St-Pierre;
- 10 juin 2007: Saint-Jérôme (Laurentides): élection visant à combler le poste de conseiller no 8 en raison de l‘élection de l‘ex-conseiller Martin Camirand (ADQ) comme député de Prévost;
- 10 juin 200: La Sarre (Abitibi-Témiscamingue): élection visant à combler le poste de conseiller no 2, Quartier Centre, à la suite de la démission du conseiller Yves Dubé.
Jeu de chaise musicale au municipal
Les résultats des élections générales du 26 mars dernier occasionneront la tenue d‘élections partielles dans quelques municipalités, le cumul des mandats de député et de membre d‘un conseil municipal (maire ou conseiller) étant interdit:
- Mandeville (Lanaudière): le maire de la Municipalité de Mandeville, M. François Benjamin (ADQ), a démissionné le 30 mars dernier à la suite de sa récente élection comme député de Berthier. L‘élection partielle visant à combler son poste – ainsi qu‘un poste de conseiller municipal devenu vacant à la suite de la démission de Gilles Robert au début de février – aura lieu le 20 mai prochain;
- Sainte-Christine-d‘Auvergne (Capitale-Nationale): le maire de la Municipalité de Sainte-Christine-d‘Auvergne, M. Raymond Francoeur (ADQ), occupant maintenant le poste de député de Portneuf, une élection partielle aura lieu à une date qui reste à déterminer;
- Saint-Jérôme (Laurentides): le siège qu‘occupait jusqu‘à tout récemment M. Martin Camirand (ADQ) au conseil municipal de la Ville de Saint-Jérôme est devenu vacant étant donné son élection comme député de Prévost. La date de l‘élection partielle visant à combler le poste n‘a pas encore été annoncée;
- Saint-Paul-d‘Abbotsford (Montérégie): cette nouvelle n‘est pas des plus récentes, mais comme elle était sortie en pleine campagne électorale… M. Gérard Ménard a démissionné comme conseiller municipal à la Paroisse de Saint-Paul-d‘Abbotsford au début de mars. La date de l‘élection visant à combler le poste n‘est pas encore connue.
Le Parti québécois recrute amplement dans le milieu médiatique ces jours-ci, et pas seulement à Radio-Canada: le maire d‘Huntingdon et animateur de radio au 98,5FM à Montréal, aurait été approché pour être candidat du PQ dans une circonscription qui reste à être annoncée.
À part ça, bien d‘autres candidatures en ce 7 février:
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Berthier (ADQ): l‘Action démocratique du Québec a annoncé ce matin la candidature du maire de Mandeville, M. François Benjamin, dans Berthier;
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Charlesbourg (PQ): les rumeurs sont confirmées: l‘ex-député de Charlesbourg–Jacques-Cartier, M. Richard Marceau (BQ), sera candidat à l‘investiture du PQ dans Charlesbourg;
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Jean-Lesage (PQ): selon Le Soleil, deux candidats tenteront d‘obtenir l‘investiture du PQ dans Jean-Lesage, soit l‘ex-député fédéral de Beauport-Limoilou, M. Christian Simard (BQ), et Mme Hélène Guillemette;
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Jean-Lesage (QS): selon un autre article du Soleil (lien non disponible), M. Jean-Yves Desgagnés, candidat indépendant-mais-néanmoins-affilié-à -l‘UFP (ça a l‘air compliqué dit comme ça, et ça l‘est réellement) lors de l‘élection générale de 2003 dans Jean-Lesage, sera candidat pour Québec solidaire en 2007. M. Desgagnés a également été candidat défait (MS) en 1989 dans Rosemont;
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Johnson (LIB): selon Corus Nouvelles, le maire de la Ville de Sherbrooke, M. Jean Perreault, aurait été approché par le Parti libéral du Québec afin d‘être candidat dans Johnson, circonscription dans laquelle une partie de la ville qu‘il dirige est située;
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Marie-Victorin (PQ): la nouvelle commence déjà à faire des vagues: l‘ex-chef du bureau parlementaire de Radio-Canada à Québec, M. Bernard Drainville, sera candidat péquiste dans Marie-Victorin;
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Matane (PQ): le match revanche aura bel et bien lieu: M. Pascal Bérubé, ex-président du Comité national des jeunes du PQ et candidat défait par 33 voix lors de l‘élection générale de 2003 dans Matane, sera à nouveau candidat dans cette circonscription en 2007. Le principal intéressé confirmera le tour lors d‘une conférence de presse le 12 février prochain;
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Montmorency (PQ): toujours selon Le Soleil, Mme Françoise Mercure, avocate et ex-vice-présidente de la Chambre de commerce et d‘industrie du Québec métropolitain, aurait approché l‘exécutif du PQ de Montmorency afin d‘y proposer sa candidature;
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Saint-Henri–Sainte-Anne (LIB): la députée de Saint-Henri–Sainte-Anne, Mme Nicole Loiselle (LIB), a annoncé son retrait de la vie politique à l‘issue de la présente législature;
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Vanier (LIB): c‘est hier que M. Jean-Claude L‘Abbée a été officiellement nommé candidat libéral dans Vanier.
Selon TVA (ce lien mène vers un extrait vidéo du TVA 22 heures), ce ne serait qu‘une question de jours avant que le maire de la Municipalité de Mandeville, M. François Benjamin, qui a occupé plusieurs postes dans des organisations souverainistes par le passé, annonce qu‘il sera candidat de l‘Action démocratique du Québec dans Berthier (l‘hebdomadaire L‘Action ajoute que la candidature du maire de Lanoraie et préfet de la MRC d‘Autray, M. André Villeneuve, serait également envisagée).
TVA ajoute que d‘autres personnes ayant milité dans le camp souverainiste dans le passé envisageraient de porter les couleurs de l‘ADQ lors de la prochaine élection générale, notamment M. Louis Mongrain dans Prévost et M. Conrad Harvey dans Charlevoix.
MISE À JOUR (1er février 2007): Le Devoir rapporte une histoire semblable, mais évoque un cas différent, celui de l‘ex-député bloquiste et candidat à la direction du PQ en 2005, M. Ghislain Lebel, et l‘ex-députée péquiste de Verchères (1989-1994), Mme Luce Dupuis:
Un ancien candidat à la direction du PQ claque la porte
Antoine Robitaille
Le Devoir
Édition du jeudi 01 février 2007
(…) M. Lebel reconnaît que depuis l‘automne, il se sent plus à l‘aise à l‘ADQ qu‘au PQ. «Le PQ m’a terriblement déçu, comme ça ne se peut pas.» Il se dit nullement surpris que «des gens comme moi», dans la région de Québec, dans Chaudière-Appalaches, fassent davantage confiance à Mario Dumont, comme l‘a clairement démontré le sondage Léger Marketing-Le Devoir de mardi. «Au moins, les gens de l‘ADQ sont un peu nationalistes.» Même qu‘une ancienne députée péquiste de Verchères, Luce Dupuis, maintenant à la tête de la commission des aînés de l‘ADQ, l‘a sondé pour savoir s‘il serait intéressé à se porter candidat dans Beloeil. Mais le notaire de 60 ans a répondu qu‘il serait davantage intéressé à porter les couleurs de l‘ADQ dans Chambly, son comté, lequel a déjà été «réservé à un ami de Mario Dumont, ce qui est son droit le plus strict», conclut-il. M. Lebel participera à un débat sur le choc Montréal-régions à l‘émission Bazzo.tv à Télé-Québec, lundi midi.
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