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Candidatures: 13 février 2007

En fait, dans bien des cas, ce ne sont pas tant des nouvelles que des rumeurs aujourd’hui:

  • Acadie (LIB): c’est maintenant confirmé, Christine St-Pierre fait le saut en politique partisane pour le compte du Parti libéral du Québec. On parle d’une candidature dans l’Acadie, mais ce n’est pas confirmé;
  • Bourget (VRT): selon Le Devoir, et contrairement à ce que le Parti vert du Québec avait annoncé en octobre, le chef du Parti, M. Scott McKay, aurait renoncé à présenter sa candidature dans Bourget, où il a déjà été conseiller municipal. M. McKay est toujours à la recherche d’une circonscription où se présenter;
  • Joliette (ADQ): l’Action démocratique du Québec a confirmé cet après-midi la candidature de M. Pascal Beaupré, avocat, dans Joliette;
  • Laporte (LIB): pendant que le député de Laporte et ministre des Finances, M. Michel Audet (LIB), a confirmé son retrait de la vie politique, Mme Nicole Ménard, vice-présidente de la Banque de Montréal, soumettra sa candidature dans Laporte;
  • Mont-Royal (LIB): le président de Corus Québec, M. Pierre Arcand (le frère et patron de l’autre), sera candidat libéral dans Mont-Royal;
  • Rousseau (ADQ): l’assemblée d’investiture de l’ADQ dans Rousseau avait lieu ce soir. M. Jean-Pierre Parrot, enseignant et candidat défait (ADQ) lors de l’élection générale de 2003 dans Terrebonne, a été désigné candidat dans Rousseau;
  • Rousseau (LIB): M. Yves Prud’homme, maire de la Municipalité de Saint-Roch-de-l’Achigan et ex-président de la Fraternité des policiers de Montréal et de la Fédération des policiers du Québec, pourrait être candidat libéral dans Rousseau, selon les rumeurs;
  • Saint-Henri–Sainte-Anne (LIB): autre rumeur du jour: la présidente du Conseil de la famille et de l’enfance et ancienne animatrice de télé, Mme Marguerite Blais, pourrait être candidate du Parti libéral dans Saint-Henri–Sainte-Anne;
  • Vanier (PQ): selon Le Journal de Québec, ça joue dur entre les deux candidats à l’investiture du Parti québécois dans Vanier.

Le ministre Audet en réflexion

La Presse canadienne rapporte ce soir que le député de Laporte et ministre des Finances, M. Michel Audet (LIB), est présentement en réflexion quant à son avenir politique:

Québec

Michel Audet songe à quitter la politique

Presse Canadienne (PC)
Jocelyne Richer
31/01/2007 19h52

Le ministre des Finances, Michel Audet, a entrepris une réflexion qui pourrait bien le mener à tirer sa révérence. Âgé de 66 ans, M. Audet, qui sonde présentement le coeur des Québécois pour savoir quelle orientation ils veulent donner au prochain budget, scrute en même temps son propre coeur pour savoir s‘il doit ou non réclamer un nouveau mandat.

S’il refuse de dire qu‘il a décidé de quitter, il ne semble pas non plus enclin à affirmer qu‘il a l‘intention de rester. Poussé à préciser ses intentions quant à son avenir, il s‘est contenté, mercredi, de dire qu‘il n‘avait «pas exclu» de se présenter à nouveau.

(…)

Élection générale 2007: circonscription électorale de Laporte

Le gouvernement sur You Tube

La Presse consacre, dans son édition d‘aujourd‘hui, un article sur l‘apparition récente, sur le site de plusieurs ministères du Gouvernement du Québec, de vidéos mettant en vedette des ministres du gouvernement Charest qui dressent un bilan de leurs réalisations.

Un intervenant cité dans l‘article s‘interroge notamment sur l‘utilisation des sites gouvernementaux à des fins politiques et de l‘éventuel “brouillage”, selon ses termes, entre la politique partisane et l‘administration gouvernementale que cela pourrait entraîner, surtout à l‘approche de la prochaine élection générale.

À titre d‘exemple, voici les hyperliens vers les vidéos disponibles sur les sites du Ministère du Développement durable, de l‘Environnement et des Parcs ainsi que du Ministère des Affaires municipales et des Régions.

La PresseLe mercredi 10 janvier 2007

VIDÉOS SUR INTERNET

Les libéraux mettent leurs lunettes roses

Marie Allard et Sébastien Rodrigue
La Presse

La vogue des vidéos sur Internet a gagné le gouvernement Charest. Treize ministres diffusent depuis peu des clips d‘eux-mêmes dans lesquels ils dressent un bilan de leurs réalisations, en prenant soin d‘éviter plusieurs sujets controversés.

Diffusées sur les sites Internet de leurs ministères, ces capsules restent muettes sur la vente d‘une partie du mont Orford, sur les défusions municipales, sur la réforme de l‘Éducation et sur le pont de la 25. Neuf autres ministres – dont ceux de la Justice, du Travail et de l‘Agriculture – n‘ont pas eu droit à leur bilan vidéo.

Se défendant d‘être en mode préélectoral, les ministères disent s‘adapter à l‘ère de l‘Internet. « C‘est à l‘instar de ce qui se fait « C‘est à l‘instar de ce qui se fait dans beaucoup de pays industrialisés, où les gouvernements utilisent de plus en plus Internet, a expliqué hier Marie-Claude Lavigne, attachée de presse du ministre de l‘Éducation. Les gens n‘aiment pas avoir des pages pleines à lire, ils sont habitués à avoir de l‘information plus rapide et animée. » Les clips des ministres arrivent toutefois en ligne au moment où les rumeurs d‘élections provinciales s‘intensifient une fois de plus.

Les messages vidéo, enregistrés en deux vagues au cours de l‘automne, auraient du mal à figurer parmi les favoris sur YouTube. Le scénario est toujours le même : on y voit le ministre cadré jusqu‘au buste devant un drapeau du Québec, lisant son bilan sans s‘arrêter. La présidente du Conseil du Trésor, Monique Jérôme-Forget, est la plus bavarde avec un clip de plus de six minutes trente. Le premier ministre a un traitement différent avec la diffusion d‘une conférence de presse portant sur le bilan de son gouvernement.

Ces vidéos sont encore loin du succès avec un peu plus de 2300 visites pour celui du premier ministre. Les premiers clips ne sont toutefois disponibles que depuis fin octobre et sept d‘entre eux ont été mis en ligne en décembre.

La production des clips des ministres a été pilotée par le Secrétariat des communications gouvernementales. Chaque tournage a coûté environ 1000 $. Selon la sous-ministre responsable, Marie-Claire Ouellette, d‘autres enregistrements sont prévus. « Nous trouvions que c‘était une façon intéressante de communiquer avec les contribuables », explique-t-elle.

Mme Ouellette refuse d‘y voir un exercice partisan, précisant qu‘il est « normal » qu‘un ministre fasse un tel bilan. « Nous avons choisi de parler de réalisations tangibles et très significatives », ajoute-t-elle. Plusieurs porte-parole admettent toutefois d‘emblée que ces bilans ne sont pas exhaustifs. « Nous avons mis l‘accent sur les mesures avec un impact sur les citoyens », se défend Jonathan Trudeau, porte-parole de la ministre des Affaires municipales.

L‘utilisation des sites gouvernementaux pour diffuser des bilans politiques est inusité, selon Thierry Giasson, spécialiste de la communication politique et chargé de cours à l‘Université de Montréal. « On vient brouiller la ligne entre la politique partisane et la politique gouvernementale », dit-il. M. Giasson s‘interroge aussi sur la portée véritable de cette tactique. Ce dernier souligne également que l‘internaute typique ne répond pas à la définition de la clientèle électorale traditionnelle.

Bilans partiels

Quelques exemples : le ministre de l‘Éducation, Jean-Marc Fournier ne prononce pas une seule fois le mot « réforme » en plus de quatre minutes. Il dit que les écoles primaires offrent désormais deux heures d‘éducation physique par semaine, alors qu‘en réalité, une sur cinq ne le fait pas.

Le ministre de la Santé, Philippe Couillard, parle des quatre milliards investis en santé depuis trois ans, sans mentionner le futur CHUM. Et la présidente du Conseil du Trésor, Monique Jérôme-Forget, passe sous silence la loi spéciale adoptée pour imposer les conditions de travail des employés de l‘État.

De son côté, la ministre des Affaires municipales et des régions, Nathalie Normandeau, évite l‘épineuse question des défusions. La ministre vante plutôt le nouveau pacte fiscal avec les municipalités et l‘entente sur le transfert d‘une partie de la taxe fédérale sur l‘essence. Elle dit que son gouvernement investira un milliard en 2006 avec ces transferts, alors qu‘ils se chiffrent à 276 millions jusqu‘à maintenant. Ils atteindront au total 942 millions en 2010.

Pour les finances, le ministre Michel Audet n‘explique pas comment les baisses d‘impôts sont moindres que dans les promesses électorales de son parti. Il fait plutôt valoir que le fardeau fiscal des particulier est moindre par rapport aux autres provinces et qu‘il a été réduit de 2,9 milliards.

La ministre de la Famille, des Aînés de la Condition féminine se contente enfin de souligner que le Québec possède 200 000 places de garderies à 7 $. Il n‘y a rien pour expliquer le passage du tarif quotidien de 5 à 7 $, ni sur le controversé projet de loi 124 sur la réforme des services de garde.

De leur côté, les ministères sans bilan vidéo ne semblent pas savoir pourquoi. «On n‘a pas fait de vidéo, mais il n‘y a pas vraiment de raison », a indiqué Aurélie Bujold, attachée de presse du ministre de la Justice. Au ministère du Revenu, on pense en tourner un prochainement. « Ça se fait de façon progressive », a précisé Alexandra Reny, attachée du ministre Lawrence Bergman.