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QuébecPolitique.com - Le carnet électoral

« Être en politique, c’est comme être un entraîneur de football. Il faut être assez intelligent pour comprendre le jeu et assez bête pour penser que c’est important. » (Eugene McCarthy (1916-2005), homme politique américain et ancien sénateur)

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    PQ ADQ LIB VRT QS Aut.
    32,0 31,0 28,0 5,0 4,0 0,0
    Source: Léger Marketing, 27 juin 2007
    PQ ADQ LIB VRT QS Aut.
    29,0 28,0 27,0 7,0 6,0 1,0
    Source: CROP, 27 juin 2007
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    Compte tenu des réticences que semble manifester le député de Pointe-aux-Trembles, André Boisclair (PQ), à l’idée de céder son siège à la nouvelle cheffe du Parti québécois, Pauline Marois, le chroniqueur Gilbert Lavoie suggère ce matin dans Le Soleil la possibilité que cette dernière tente sa chance dans une circonscription de la région de Québec, plus précisément dans Charlevoix, dont le député, l’ex-ministre Rosaire Bertrand (PQ), avait connu des problèmes de santé l’automne dernier.

    La suggestion est d’autant plus ironique qu’à l’époque où Boisclair avait été élu à la direction du Parti québécois, il avait lui-même envisagé (et bien peu de commentateurs politiques de la région avaient tenté de l’en dissuader) d’obtenir un siège à l’Assemblée nationale dans une circonscription de la région.

    Rappelons que Pauline Marois, qui est originaire de Québec, avait été élue pour la première fois dans La Peltrie lors de l’élection générale de 1981 avant d’être défaite par le libéral (à l’époque) Lawrence Cannon en 1985. Par la suite, elle représenta la circonscription électorale de Taillon de 1989 à 2006.

    La circonscription de Charlevoix est représentée par Rosaire Bertrand depuis 1994. Le 26 mars dernier, il avait été réélu par 1 663 voix de majorité (6,88%) sur son principal adversaire, l’adéquiste Conrad Harvey. Dans l’autre circonscription péquiste de la région, celle de Taschereau, la députée Agnès Maltais l’avait emporté par une marge plus confortable (3 178 votes ou 9,56%) sur une autre candidate de l’ADQ, Caroline Pageau. Toutefois, Gilbert Lavoie ne mentionne pas cette possibilité dans sa chronique.

    Le vendredi 29 juin 2007

    Marois dans Charlevoix?

    Gilbert Lavoie
    Le Soleil

    Pauline Marois a réitéré jeudi qu’elle aimerait siéger à l’Assemblée nationale dès la reprise des travaux, en octobre. Quand on y pense bien, pourquoi ne serait-elle pas candidate dans Charlevoix ? Le député Rosaire Bertrand déclarait hier encore que Mme Marois devrait se présenter dans la région de la capitale. Comme disent les anglophones, « put your money where your mouth is ». M. Bertrand serait-il disposé à offrir sa circonscription à sa chef ?

    Voyons un peu : Mario Dumont vient de Rivière-du-Loup, et Philippe Couillard habite Québec. Si M. Couillard devait succéder à Jean Charest, le PQ serait le seul parti dirigé par un leader montréalais. Or on a vu, aux dernières élections, à quel point la marque de commerce « Montréal » passe mal à l’extérieur de la métropole.

    Pauline Marois a déjà une maison d’été dans Charlevoix. Le député Bertrand, aura 71 ans en octobre. Parions qu’il serait fort honoré de lui céder sa circonscription. Charlevoix vote péquiste depuis 1994, et M. Bertrand a obtenu une majorité de 1936 voix le 26 mars, une hausse de 563 voix par rapport aux élections de 2003. Ce n’est pas une circonscription aussi sûre pour le PQ que l’est Rivière-du-Loup pour Mario Dumont, mais ce n’est pas plus risqué que Jean-Talon pour le ministre Couillard. Et puis, à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.

    Pauline Marois a eu une conversation avec André Boisclair, mercredi. Elle semble avoir fait une croix sur la possibilité de se présenter dans sa circonscription de Pointe-aux-Trembles. M. Boisclair n’a pas de fortune personnelle, il est en recherche d’emploi, et il n’est pas enclin à remettre sa démission tant qu’il n’aura pas un revenu assuré ailleurs.

    De plus, le Parti québécois ne veut pas donner l’impression aux gens de Pointe-aux-Trembles que leur circonscription est devenu la porte d’entrée de ses leaders à l’Assemblée nationale.

    Le Parti québécois détient d’autres circonscriptions sûres à Montréal, dont celle de Louise Harel, qui a songé à quitter la politique à la fin du mandat précédent. Mais Mme Harel semble maintenant déterminée à rester.

    Personne d’autre à Montréal ne semble enclin à quitter, et Mme Marois ne veut pas vivre le cauchemar de Lucien Bouchard, qui représentait une région éloignée comme Jonquière, lorsqu’il dirigeait le PQ. Bref, son premier choix se portera sur la région de Montréal ou celle de Québec. Pourquoi pas Charlevoix ?

    Pauline Marois a montré, cette semaine, qu’elle compte imposer un grand virage au Parti québécois. Ses rencontres des derniers jours confirment le sérieux de ses intentions. Ainsi, elle a pris un repas avec Lucien Bouchard, peu de temps avant la Saint-Jean Baptiste. Or M. Bouchard est fort mal vu des péquistes orthodoxes qui ont toujours douté de ses convictions souverainistes. Et il est tout aussi mal vu des sociaux-démocrates depuis qu’il a lancé le mouvement des lucides. Par contre, Mme Marois n’a toujours pas consulté Bernard Landry, qui prêchait un interventionnisme à outrance et qui se souciait peu du déficit lorsqu’il était premier ministre. M. Landry pourra jouer les belles-mères s’il le désire, il ne sera pas dans les confidences de Mme Marois. Son absence du Capitole, mercredi soir, était significative, tout comme celle d’André Boisclair.

    Au fond, Mme Marois enverrait un signal très fort si elle quittait Montréal pour se présenter dans Charlevoix. Ce serait quitter la gauche caviar du Plateau Mont-Royal, dont la pensée est souvent à des lieux des préoccupations du reste du Québec. Et si Mme Marois s’ennuie, elle pourrait toujours aller prendre le lunch chez Louise Beaudoin qui reçoit souvent ses amies de filles, les Lisa Frulla et Lise Bissonnette, dans son p’tit chalet de Charlevoix. À quatre, elles pourraient réinventer le monde.

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    Option Canada: le deuxième rapport

    Mine de rien, sans tambour ni trompettes, le Directeur général des élections a rendu public ce matin la deuxième partie de son rapport sur l’enquête portant sur les allégations contenues dans le livre Les secrets d’Option Canada des auteurs Normand Lester et Robin Philpot. Alors que le premier rapport était consacré aux constats et aux conclusions, le deuxième rapport contient les recommandations du commissaire-enquêteur, l’ex-juge Bernard Grenier, à la suite de l’enquête.

    Après avoir lu le communiqué en diagonale (nous n’avons pas encore lu le rapport comme tel), on peut constater que les recommandations de l’ex-juge Grenier vont dans le sens d’un renforcement de la législation actuelle en matière de financement électoral (ou, dans le cas qui nous concerne, référendaire). Bref, pas de remise en cause d’éléments tels que les comités-parapluie, le plafonnement des dépenses, l’interdiction du financement par des personnes morales ou la limitation des contributions financières pouvant êtres versées par un électeur. De plus, à première vue, certaines recommandations pourraient également être appliquées lors des campagnes électorales à l’Assemblée nationale ou au municipal. Reste à voir si les recommandations seront incluses dans un projet de loi qui serait déposé à l’Assemblée nationale au cours des prochains mois.

    Le deuxième rapport peut être téléchargé ici (format pdf).

    Communiqué

    Enquête du DGE sur certaines révélations du livre Les secrets d’Option Canada - Me Bernard Grenier recommande plusieurs mesures visant une plus grande transparence du processus référendaire

    Québec, le 28 juin 2007 – S’appuyant sur la preuve recueillie lors de l’enquête qu’il a menée sur certaines révélations du livre Les secrets d’Option Canada, le commissaire enquêteur Bernard Grenier propose de rendre le processus référendaire québécois plus transparent, notamment en instaurant un mécanisme de divulgation des dépenses avant la période référendaire comme telle, en augmentant les responsabilités des agents officiels des comités du OUI et du NON tout en les rendant plus indépendants, et en encadrant mieux le travail bénévole partisan. Me Grenier suggère également qu’une campagne publicitaire favorisant ou défavorisant l’option du OUI ou du NON, et financée par un gouvernement ou une entreprise, ne puisse être diffusée au Québec durant la période référendaire sans avoir obtenu l’approbation de l’agent officiel d’un comité national.

    Le directeur général des élections du Québec, Me Marcel Blanchet, a rendu publiques aujourd’hui les recommandations de Me Grenier, lesquelles mettent un terme à ses travaux entrepris en janvier 2006. « J’accueille le deuxième rapport Grenier avec énormément d’intérêt, a indiqué Me Blanchet, et je crois qu’il contient des idées qui devraient attirer l’attention de l’Assemblée nationale, dans la perspective d’un renforcement de la loi référendaire québécoise. »
    Rappelons que le commissaire enquêteur a établi qu’un montant d’environ 539 000 dollars avait été dépensé illégalement en faveur de l’option du NON durant la période référendaire ayant précédé le référendum de 1995 au Québec et qu’environ 10,5 millions de dollars avaient été également dépensés durant les mois qui ont précédé la période référendaire par le Conseil pour l’unité canadienne (CUC) et par Option Canada, un organisme créé par le CUC.

    Des contrôles en période pré-référendaire

    Dans l’exposé de ses recommandations, Me Grenier souligne que « c’est en période pré-référendaire que la plupart des dépenses d’organisation, de sondage et de publicité sont effectuées, ce qui risque de débalancer significativement l’équilibre des forces en présence que cherche à assurer la loi référendaire québécoise ». Dans ce contexte, le commissaire enquêteur soumet « qu’il y aurait un net avantage à ce que la période réglementaire soit plus longue qu’un mois et qu’elle soit divisée en deux phases : la période pré-référendaire et la période référendaire. Dès le début de la période pré-référendaire, un comité provisoire serait créé et l’agent officiel de ce comité serait nommé. Les dépenses du comité provisoire, des groupes qui lui sont affiliés et des groupements indépendants en faveur d’une option ne seraient pas limitées, mais elles devraient néanmoins être portées à la connaissance de l’agent officiel et rendues publiques. » Lorsque la période référendaire débuterait, le comité provisoire se transformerait en comité national soumis à l’ensemble des règles de financement. La période totale de contrôle, estime Me Grenier, devrait être de 2 ou 3 mois. Ce système obligerait le gouvernement à déterminer plus tôt la date du référendum.

    Le rôle de l’agent officiel

    Décrivant ce qui distingue un référendum d’une élection générale ordinaire, Me Grenier rappelle qu’en période pré-référendaire ou référendaire, « de nombreux intervenants sont susceptibles de prendre position en faveur d’une option ou d’une autre, par exemple des groupes affiliés à un comité national qui disposent souvent de moyens financiers nettement plus substantiels que ceux du parti politique qui appuie une option et qui dirige le comité national. » Le commissaire-enquêteur est donc d’avis que l’agent officiel de ce comité devrait disposer « de véritables pouvoirs de contrôle et de surveillance à l’égard de l’ensemble des groupes affiliés et des autres groupes indépendants qui appuient une option », de façon à pouvoir exiger de leur part « une véritable reddition de compte ».

    Cette recommandation impliquerait que l’agent officiel commencerait son travail durant la période pré-référendaire à un moment prévu par la loi. Ainsi, il pourrait connaître l’identité des fournisseurs principaux d’un comité provisoire et l’ampleur des dépenses qu’ils engageraient. Les agents officiels devraient suivre une formation beaucoup plus poussée et leur indépendance serait reconnue par la loi de façon explicite. Ils pourraient par ailleurs recevoir une allocation du Directeur général des élections, ce qui serait de nature à accroître leur indépendance.

    Me Grenier va plus loin en proposant que chaque groupe affilié (comme c’était le cas pour le Conseil pour l’unité canadienne en 1995), ainsi que les groupes indépendants, aient un agent officiel délégué qui relèverait directement de l’agent officiel d’un comité national. Quant aux fournisseurs des différents comités et groupes impliqués dans le débat référendaire, ils devraient avoir une place d’affaires au Québec pour éviter « que la juridiction du DGE soit remise en question pour des motifs d’ordre territorial ».

    Le travail « bénévole »

    L’enquête de Me Grenier a révélé que « certains mécanismes avaient été mis sur pied pour contourner les exigences de la loi, notamment l’octroi de « primes de séparation » à des organisateurs du Conseil pour l’unité canadienne qui auraient dû être des travailleurs « bénévoles » durant la période référendaire, mais qui en réalité étaient des personnes rémunérées. Le commissaire estime que la loi devrait prévoir spécifiquement que de telles primes de séparation, ou tout autre montant ayant pour but d’inciter une personne à se rendre disponible afin de travailler en période référendaire « constitue une dépense réglementée ». Il estime en outre que la loi devrait définir ce qu’est un bénévole.

    Les représentants des médias sont priés de noter que Me Grenier n’accordera aucune entrevue. Le rapport ainsi que le communiqué sont disponibles dans le site Web du DGE (www.electionsquebec.qc.ca).

    Enquête du DGE sur certaines révélations du livre Les secrets d’Option Canada (PDF : 192 Ko / 15 pages)

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    Comparons les sondages

    L’avantage lorsqu’on a deux sondages publiés le même jour, c’est qu’on peut comparer les résultats lorsque des questions portent sur des sujets similaires.

    Confiance à l’endroit des chefs

    Léger Marketing: Entre Jean Charest, Mario Dumont et Pauline Marois, en qui avez-vous le plus confiance pour…?
    Jean Charest (LIB) Mario Dumont (ADQ) Pauline Marois (PQ) Aucun Indécis
    le développement économique et l’emploi? 25,0 33,0 32,0 5,0 5,0
    l’amélioration du système de santé? 22,0 32,0 31,0 9,0 6,0
    l’éducation? 19,0 34,0 37,0 5,0 5,0
    l’environnement? 19,0 35,0 31,0 8,0 7,0
    la gestion des finances publiques? 25,0 29,0 35,0 6,0 5,0
    la défense des intérêts du Québec? 23,0 26,0 44,0 4,0 3,0
    CROP: Lequel des leaders politiques suivants - Jean Charest, Mario Dumont, Pauline Marois…
    Jean Charest (LIB) Mario Dumont (ADQ) Pauline Marois (PQ) Aucun Indécis
    propose le plus de nouvelles idées pour l’avenir du Québec? 11,0 52,0 15,0 8,0 13,0
    vous semble le plus préoccupé par le fardeau fiscal des Québécois? 26,0 37,0 15,0 6,0 16,0
    permettrait au Québec de faire face avec succès à l’enjeu des changements climatiques? 20,0 27,0 20,0 11,0 22,0
    permettrait au Québec de résoudre la crise dans le milieu de la santé? 18,0 27,0 25,0 15,0 15,0
    vous semble le plus sensible aux problèmes des familles? 14,0 51,0 21,0 3,0 11,0

    Note: Nous avons volontairement omis certaines sous-questions du sondage CROP qui ne traitent pas des perceptions des répondants sur des dossiers de fond, du genre “lequel vous inspire le plus confiance” ou “lequel voudriez-vous avoir comme ami”.

    Meilleur premier ministre

    Léger: Selon-vous, laquelle des personnalités politiques suivantes ferait le meilleur Premier ministre du Québec? Serait-ce…?
    Jean Charest (LIB) Mario Dumont (ADQ) Pauline Marois (PQ) Scott McKay (VRT) Françoise David (QS) Aucun Indécis
      23,0 26,0 37,0 3,0 1,0 5,0 5,0
    CROP: Lequel des leaders politiques suivants - Jean Charest, Mario Dumont, Pauline Marois - ferait le meilleur premier ministre du Québec?
    Jean Charest (LIB) Mario Dumont (ADQ) Pauline Marois (PQ) Scott McKay (VRT) Françoise David (QS) Aucun Indécis
      21,0 31,0 32,0     7,0 8,0

    Note: Scott McKay et Françoise David ne figurent pas dans le choix de réponses proposé dans le sondage CROP.

    Souveraineté

    Léger: Si un référendum avait lieu aujourd’hui sur la souveraineté du Québec, voteriez-vous POUR ou CONTRE la souveraineté du Québec ?
    Pour Contre
      42,0 58,0
    CROP: Si un référendum avait lieu aujourd’hui vous demandant si vous voulez que le Québec devienne un pays souverain, voteriez-vous Oui ou voteriez-vous Non?
    Oui Non
      32,0 68,0
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    Après le sondage CROP publié ce matin dans La Presse, un autre sondage, celui-là réalisé par Léger Marketing et publié dans les pages du Journal de Montréal, tend à démontrer que les principaux partis sont dans une situation d’égalité statistique. Ainsi, après répartition des indécis, les intentions de vote de la population québécoise seraient les suivantes (les chiffres entre parenthèses indiquent la variation par rapport au dernier sondage de Léger Marketing de mai 2007):

    • PQ: 32% (+2)
    • ADQ: 31% (-2)
    • LIB: 28% (=)
    • VRT: 5% (+1)
    • QS: 4% (=)
    • Autres: 0% (-1)

    Malheureusement, les résultats avant répartition des indécis ne sont pas disponibles.

    Voici d’autres données intéressantes tirées du sondage:

    • 37% des répondants sont d’avis que Pauline Marois ferait la meilleure première ministre du Québec, 26% optent pour Mario Dumont et 23% penchent pour Jean Charest. Françoise David et Scott McKay ferment tous deux la marche avec 3% et 1% respectivement.
    • Si un éventuel sur la souveraineté (sans offre de partenariat) avait lieu ces jours-ci, 42% des répondants voteraient pour et voteraient 58% contre.
    • Léger Marketing sonde également les répondants sur leur niveau de confiance envers les chefs des principaux partis concernant certains dossiers sectoriels. Nous y reviendrons.

    Le sondage Léger Marketing a été réalisé par téléphone du 20 au 24 juin 2007 auprès de 1 000 québécois. La marge d’erreur est de +/- 3,1%, 19 fois sur 20. Les données finales ont été pondérées selon le sexe, l’âge, la langue maternelle et la région, de façon à être représentatives de la population du Québec, selon les dernières données de Statistique Canada. Le rapport d’analyse de Léger Marketing peut être consulté ici (fichier pdf).

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    Il y a présentement égalité statistique entre les trois principaux partis au Québec, le Parti québécois n’ayant qu’une avance de 1% sur l’Action démocratique du Québec et de 2% sur le Parti libéral du Québec. C’est ce que révèle le dernier sondage CROP publié ce matin dans La Presse. Après répartition proportionnelle des 13% d’indécis, les intentions de vote se déclinent comme suit (les chiffres entre parenthèses indiquent la variation par rapport au dernier sondage CROP du début de juin):

    • PQ: 29% (=)
    • ADQ: 28% (-1)
    • LIB: 27% (-1)
    • VRT: 9% (+1)
    • QS: 6% (+1)
    • Autres: 1% (+1)

    Avant répartition des indécis, les intentions de vote se répartissent comme suit: PQ 25%, ADQ 24%, LIB 23%, VRT 8%, QS 6% et autres partis 1%. Par ailleurs, lorsqu’on questionne les répondants sur leurs intentions de vote “avec Jean Charest comme chef du PLQ” (sans nommer les autres chefs de parti), le PQ obtient 31% des appuis après répartition des indécis (ADQ 30%, LIB 27%, VRT 6% et QS 5%). Si on pose la même question  “avec Philippe Couillard comme chef du PLQ” les appuis envers le PQ montent à 32% (ADQ 29%, LIB 28%, VRT 6% et QS 5%).

    Pour ce qui est des autres faits saillants du sondage, mentionnons les suivants:

    • 36% des répondants affirment être “très” ou “plutôt” satisfaits à l’endroit du gouvernement Charest tandis que 60% d’entre eux se disent être “très” ou “plutôt” insatisfaits. On revient au niveau de satistaction de mars 2007 après une brève hausse de la satisfaction à l’endroit du gouvernement en mai.
    • Au sujet de la popularité des chefs, 32% croient que Pauline Marois ferait la meilleure première ministre du Québec, 31% optent pour Mario Dumont et 21% choisissent Jean Charest (7% ont choisi “aucun”, 8% ne savent pas). Nous venons d’ailleurs de remarquer que CROP a changé le libellé de sa question portant sur la popularité des chefs de parti. Depuis mai, on demande de nommer le leader qui, selon les répondants, ferait le “meilleur premier ministre du Québec” tandis qu’auparavant, on parlait de celui le “plus apte à diriger le prochain gouvernement du Québec”. Nous ne sommes pas en mesure de juger si un tel changement affecte les résultats.
    • 32% des répondants voteraient “oui” lors d’un référendum sur la souveraineté du Québec et 68% voteraient “non” (les deux méthodes de répartition, la proportionnelle et la “CROP”, donnent le même résultat). Là encore, il y a eu changement dans le libellé de la question depuis deux mois (avant, on questrionnait sur les intentions de vote sur la souveraineté-partenariat). La question sur la souveraineté sans partenariat avait été testée en septembre 2004 (2-5 septembre)et à ce moment-là, le “oui” avait obtenu, avant répartition des indécis, 35%. Lors du sondage précédent (août 2004) et du suivant (septembre 2004), l’appui envers la souveraineté avec partenariat était de 41% et 42% respectivement (avant répartition des indécis).
    • 63% des répondants croient que l’élection d’un gouvernement minoritaire le 26 mars dernier a été “une bonne chose”. 29% estiment le contraire.
    • 68% des répondants croient que sous la direction de Pauline Marois, le Parti québécois devrait abandonner son idée de faire du Québec un pays souverain et réclamer plutôt plus de pouvoirs pour le Québec au sein du Canada. 27% s’y opposent.
    • 25% des répondants croient que “au cours des 15 à 20 dernières”, les relations se sont “améliorées” entre le Québec et le reste du Canada, 14% estiment qu’elles se sont “déteriorées” et 56% jugent qu’elles sont “demeurées stables”. Il faut toutefois être prudents avec ce genre de question où l’on réfère à un contexte aussi vague que “il y a 15 ou 20 ans”. Il y a 20 ans, nous étions en 1987, l’Accord du lac Meech venait d’être signé et le Québec semblait sur le point de réintégrer la constitution canadienne. Il y a 15 ans, nous étions en 1992 et en plus de vivre les séquelles de l’échec de l’Accord du lac Meech, l’Entente de Charlottetown était sur le point d’être rejetée par les Québécois et l’appui envers la souveraineté s’élevait à des niveaux sans précédent. Cinq petites années peuvent changer toute la perspective sur une question de ce genre.

    Le sondage téléphonique a été réalisé du 14 au 25 juin 2007 auprès de 1 000 répondants. La marge d’erreur est de +/- 3%, 19 fois sur 20. Les résultats ont été pondérés sur la base du Recensement du Canada de 2001 afin de refléter la distribution de la population adulte du Québec selon le sexe, l’âge, la région de résidence des répondants et leur langue d’usage à la maison. Le rapport d’analyse du sondage peut être consulté ici (format pdf).

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    Pendant qu’on discute ouvertement d’une possible candidature de la nouvelle chef du Parti québécois, Pauline Marois, dans Pointe-aux-Trembles, l’entourage du député de Pointe-aux-Trembles, André Boisclair (PQ), a démenti auprès d’un journaliste de l’hebdo L’Avenir de l’Est de l’arrondissement Pointe-aux-Trembles les rumeurs à l’effet que Boisclair serait sur le point de démissionner à titre de député:

    (…) L’attaché politique d’André Boisclair, Nicolas Poirier-Quesnel, a indiqué que de telles informations ne sont que des rumeurs et des ouï-dire. « André Boisclair continue son travail de député. Il était d’ailleurs dans le comté la semaine dernière afin de rencontrer des citoyens et des organismes », précise-t-il. (…)

    Fait étonnant, le reste de l’article, qui traite d’un éventuel après-Boisclair dans le comté, parle non pas d’un retour de Pauline Marois, mais plutôt de l’ex-députée de Pointe-aux-Trembles (1996-2006), Nicole Léger (PQ).

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    Bon bien ça y est

    Mine de rien, on vient d’assister à une première au Québec: une femme vient d’accéder de plein titre au poste de chef d’une formation politique ayant des députés à l’Assemblée nationale. D’autres femmes avaient déjà occupé les plus hautes fonctions au sein d’un parti politique, mais c’était à titre intérimaire. En 1998, Monique Gagnon-Tremblay avait été chef de l’opposition officielle durant les quelques mois précédant l’élection de Jean Charest à l’Assemblée nationale, mais n’avait jamais été chef du Parti libéral du Québec à proprement parler (Jean Charest avait succédé directement à Daniel Johnson). Et en 2005, Louise Harel avait été chef intérimaire du Parti québécois et chef de l’opposition officielle entre la démission de Bernard Landry et l’élection d’André Boisclair.

    Le Parti québécois l’a confirmé peu après 17h cet apès-midi:

    Pauline Marois devient la première femme chef du Parti Québécois

    La présidente d’élection, Lyne Marcoux, a déclaré aujourd’hui : « Je n’ai reçu qu’un bulletin de candidature qui remplissait les critères que les membres du Parti Québécois s’étaient donnés. Madame Pauline Marois deviendra demain soir la 7e chef du Parti Québécois ».

    Soirée d’acclamation pour la nouvelle chef du Parti Québécois
    Les membres du Parti Québécois sont donc conviés à une activité pour désigner la nouvelle chef du Parti Québécois qui se tiendra demain au Cabaret du Capitole.

    Date : 27 juin 2007
    Heure : 19 heures
    Lieu : Le Cabaret du Capitole
    972, rue Saint-Jean Québec

    Rappelons que le règlement d’élection, adopté à l’unanimité par la conférence nationale des présidentes et des présidents du Parti Québécois du 26 mai dernier, précisait que pour devenir candidate ou candidat officiel, il fallait obtenir l’appui de 1 500 membres en règle au moment du dépôt du bulletin. Ces 1 500 signatures devaient provenir d’au moins 6 régions ainsi que d’au moins 40 circonscriptions différentes avec un minimum de 10 signatures dans chacune de ces circonscriptions.

    Les personnes qui souhaitaient déposer leur candidature avaient jusqu’au 26 juin 2007 à 17 heures pour faire parvenir leur bulletin complété à la présidente d’élection.

    Prochaine étape, Pointe-aux-Trembles?

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    Élection générale du 26 mars 2007: taux de participation

    Dans la foulée de la publication la semaine dernière du Rapport des résultats officiels du scrutin du 26 mars 2007, La Presse consacre aujourd’hui un article sur la baisse marquée du taux de participation dans un certain nombre de circonscriptions électorales de l’ouest de l’île de Montréal. L’article fait également état d’une “forte hausse” de la participation électorale dans Champlain par rapport à l’élection générale de 2003.

    Si on replace cette hausse dans son contexte, on conclura rapidement qu’elle n’est pas aussi spectaculaire qu’il n’y paraît. En effet, lors du scrutin général du 14 avril 2003, 75,64% des électeurs inscrits s’étaient prévalus de leur droit de vote dans Champlain. Toutefois, le scrutin a dû être repris le 20 mai suivant car les deux premiers candidats étaient arrivés à égalité à l’issue du recomptage judiciaire (la Loi électorale prévoit la tenue d’une “élection spéciale” lorsqu’une telle situation survient). Le taux de participation était alors de 57,70%. Étant donné qu’il y avait campagne électorale dans Champlain depuis le début de mars et que les électeurs avaient déjà voté une première fois le 14 avril, on peut présumer qu’il y avait une certaine lassitude chez ces derniers, sans compter que leur vote était devenu moins déterminant qu’il ne l’aurait été lors de l’élection générale proprement dite (un siège de plus ou de moins n’aurait rien changé sur l’identité du parti formant le gouvernement, les libéraux étant nettement majoritaires). De plus, comme il s’agissait d’une élection spéciale qui n’avait lieu que dans une seule circonscription, la couverture de la campagne dans les médias “nationaux” était pour le moins minimaliste. Bref, une baisse aussi radicale du taux de participation en 1 mois et demi ne devrait pas surprendre.

    En réalité, si on compare des pommes avec des pommes (élection générale vs élection générale), la participation électorale dans Champlain a connu une hausse beaucoup plus modeste (0,90%) entre 2003 et 2007 puisqu’il est passé à 76,54%.

    Le mardi 26 juin 2007

    Élections provinciales: baisse de participation dans l’Ouest-de-l’Île

    Hugo Fontaine
    La Presse

    Les sept circonscriptions qui ont enregistré la plus forte baisse du taux de participation lors des élections provinciales du 26 mars sont situées dans l’île de Montréal.

    Six d’entre elles sont dans l’Ouest-de-l’Île.

    Volà l’un des faits saillants du Rapport sur les résultats officiels du scrutin, dévoilé cette semaine par le Directeur général des élections (DGE).

    L’organisme a enregistré des baisses variant de 4,5 à 8,5% par rapport aux élections de 2003 dans ces sept circonscriptions, parmi lesquelles se trouvent Marguerite-Bourgeoys, Mont-Royal et Jeanne-Mance-Viger. C’est dans D’Arcy-McGee que la baisse est la plus marquée.

    Dans Champlain: forte hausse

    À l’autre extrémité de la liste, la circonscription de Champlain voit son taux de participation augmenter de près de 19%. C’est que, en 2003, il avait fallu reprendre le scrutin parce que deux candidats étaient arrivés ex aequo. Mais lors de la reprise, beaucoup moins de gens étaient allés voter.

    On remarque les plus fortes hausses dans les régions éloignées, notamment au Saguenay-Lac-Saint-Jean.

    Vote le plus massif: 82,6%

    Ce sont les électeurs de Marguerite-D’Youville, au sud de Montréal, qui sont allés voter le plus massivement (82,6%) pour élire le plus jeune député de l’Assemblée nationale, Simon-Pierre Diamond. Moins de la moitié des citoyens (46,5%) de la plus grande circonscription du Québec, Ungava, se sont rendus aux urnes.

    Le taux de participation global a été de 71,23%, une hausse de moins d’un point par rapport à 2003. C’est donc dire que les dispositions de la loi 22 (commissions de révision itinérantes, prolongation des heures de vote par anticipation, élargissement du vote par anticipation, itinérant et par correspondance) n’ont pas eu d’effet significatif sur la participation des électeurs.

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    Bonne fête nationale!

    Puisque vous êtes des personnes normalement constituées et que vous avez certainement mieux à faire durant une fin de semaine de trois jours que de pitonner sur votre ordinateur, nous profitons de ce vendredi soir pour vous souhaiter une bonne fête nationale, avec bien du plaisir et tout ce genre de choses.

    Et tant qu’à y être, pourquoi ne pas en profiter pour participer à une des nombreuses activités organisées partout au Québec? Il y en a pour tous les goûts (il n’y a pas juste les Plaines dans la vie), allez voir au www.fetenationale.qc.ca.

    Et surtout, jouez prudemment!

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    Fin de saison sur la scène municipale

    Avec le printemps qui s’achève, voici quelques nouvelles de derrière les fagots concernant la politique municipale:

    • Baie-Saint-Paul (Capitale-Nationale): M. Pierre-André Thomas a remporté l’élection partielle qui avait lieu le 27 mai dernier afin de combler le poste de conseiller de conseiller no 1 pour le district no 1 à la Ville de Baie-Saint-Paul. M. Thomas a obtenu 70% des voix devant Mme Mariette Pilote et M. Luc Fortin (leur résultat respectif n’est pas précisé).
    • La Sarre (Abitibi-Témiscamingue): selon l’hebdo Le Citoyen, M. Fontaine aurait fait une entrée remarquée au conseil municipal de la Ville de La Sarre à la suite de son élection comme conseiller no 2, Quartier Centre, le 10 juin dernier. Les résultats du scrutin et l’identité de ses adversaires ne sont toutefois pas précisés dans l’article.
    • Lyster (Centre-du-Québec): M. Dany Bolduc a été élu le 10 juin dernier au poste de conseiller municipal pour le district no 5 à la Municipalité Lyster. M. Bloduc l’a emporté par 50 voix contre 47 pour Mme Louise Martineau 24 24 pour Mme Corinne Merle. 121 électeurs inscrits sur 234 se sont prévalus de leur droit de vote, ce qui donne un taux de participation de 52%.
    • Mandeville (Lanaudière): lors d’un scrutin qui avait lieu le 20 mai, M. Jean-Claude Charpentier, ex-conseiller municipal à la Municipalité de Mandeville, a été réélu au conseil municipal (quartier no 1) contre Mme Lucie Hénault par 82 voix contre 62. 145 électeurs inscrits sur 392 ont pris part au scrutin.
    • Saint-Adolphe-d’Howard (Laurentides): selon l’hebdo L’Information du nord Saint-Agathe, Yves Trempe a démissionné le 18 mai dernier du poste de conseiller municipal pour le siège no 4 à la Municipalité de Saint-Adolphe-d’Howard.
    • Saint-Jérôme (Laurentides): autre course à trois le 10 juin dernier afin de combler le poste de conseiller municipal pour le district no 8 (district Lamontagne) à la Ville de Saint-Jérôme. M. Stéphane Piché (Alliance des citoyens) a obtenu 60% des voix contre 26 pour son principal adversaire, M. Gérald Cyr (Parti d’opposition). Le candidat indépendant Éric Charbonneau a terminé au troisième rang avec 14 % des suffrages.
    • Sainte-Marie-Salomé (Lanaudière): trois postes de conseillers sont présentement vacants à la Paroisse de Sainte-Marie-Salomé (sièges nos 1, 2 et 3). L’élection partielle visant à combler le siège no 2 aura lieu le 15 juillet prochain. Pour l’instant, un seul candidat est dans la course, soit M. Daniel Bourgeois.
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