Voilà un sujet qui s’impose de lui-même aujourd’hui: l’article paru ce matin dans Le Devoir concernant le blogue Les dessous de la politique et la controverse entourant l’identité de son auteure.
Est-ce qu’Élodie Gagnon-Martin est une « elle » ou un « il »? Ça n’a plus vraiment d’importance maintenant. Que les allégations soient fondées ou non, c’est la crédibilité de l’ensemble des blogueurs politiques qui est entachée par toute cette affaire.
À chaque jour, il y a plein de blogueurs qui donnent leur 110% pour faire partager leur analyse sur la situation politique et/ou promouvoir leur point de vue partisan. La qualité est variable, mais à travers le lot, nous croyons qu’il y en a plusieurs qui valent le détour et qui valent bien ce qu’on lit dans les médias traditionnels (et ce partout à travers le spectre politique). Dans le style polémique et analytique, il y a du «bon stock». On en retrouve parfois les échos dans les journaux et à la télé, mais généralement, c’est un à-côté pour tâter le pouls de l’opinion publique sur des enjeux ponctuels. Et paf! Quand les blogueurs se mettent enfin à faire la une, c’est pas pour une brillante analyse de la situation politique, c’est pas pour un scoop fumant sur un politicien, c’est pour une controverse sur du personnel politique soupçonné de bloguer. Voilà de quoi faire en sorte que les blogues soient pris au sérieux!
Chose certaine, peu importe le point de vue d’où on se place et peu importe le dénouement de cette affaire, ce n’est une belle journée pour la blogosphère politique québécoise. (suite de l'article…)
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Tags: Élodie Gagnon-Martin, blogosphère, personnel politique
L’ex-mairesse de Québec, Andrée Boucher, n’est pas encore inhumée, la date de l’élection partielle à la mairie de Québec n’est pas encore déterminée et déjà, un premier blogue a fait son apparition pour couvrir la course à sa succession. 24 heures à peine après son ouverture (c’est-à-dire hier), le blogue Course à la mairie de Québec 2007 comptait déjà 5 billets sur la campagne électorale à la mairie de Québec.
C’est ce qu’on appelle être rapide sur la gâchette.
Reste à voir si le site Mairie Académie, qui avait ouvert l’élection municipale à Québec en 2005, reprendra du service.
(via Tetoine’s Palace)
Tags: Andrée Boucher, élection municipale, élection partielle, blogosphère, maire de Québec, municipalités
Le retour
Cyberpresse avait malencontreusement tiré la plogue de son blogue il y a quelques semaines (coudonc, est-ce que c’est une habitude au Québec que d’effacer toute trace sur les lieux du crime dès qu’un blogueur ou journaliste-blogueur met la clé dans la porte?). Maintenant, Michel C. Auger “version blogueur” est de retour sur les carnets de son nouvel employeur.
En espérant que cette fois-ci, le nouveau carnet de Michel C. Auger survivra pour la postérité.
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Tags: blogosphère, Michel C. Auger
Wooooohoooo!
We’re number 60! We’re number 60!
MISE À JOUR (17 août 2007, 21h30): En fin de compte, après les ajouts que nous avons suggérés parmi les blogues politiques en français, nous avons glissé en 62e place, mais bon, comme il fallait absolument être indexés sur Alexa pour être pris en compte par Paulitics, il faut prendre ça avec un grain de sel.
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Tags: blogosphère, QuébecPolitique.com
Yves Williams a publié hier sur son blogue un article sur une pratique émergente au Québec, mais déjà bien implantée aux États-Unis: l’emploi des sites de “social networking” (Facebook, Meetup.com, etc.) en politique partisane. À notre grande surprise, nous y avons appris l’existence sur Facebook d’un groupe associé au Comité du Nouveau Parti démocratique du Québec, dont nous avions parlé l’automne dernier et qui tente, sans succès jusqu’à présent, de mettre sur pied une section provinciale du Nouveau Parti démocratique qui oeuvrerait directement sur la scène électorale québécoise.
Yves Williams commente également la désormais célèbre section du Rapport des résultats officiels du scrutin du 26 mars 2007 portant sur “l’utilisation des nouvelles technologies de l’information et des communications (NTIC) en période électorale” (sic). En lisant ses propos, on peut se demander s’il est aussi sceptique que nous quant aux leçons que tirera le DGE face à l’émergence su web 2.0 dans le domaine électoral.
À lire donc pour en apprendre davantage sur un moyen d’utilisation du web en politique que nous n’avons pas toujours la possibilité de couvrir aussi exhaustivement que nous le voudrions.
Tags: élection générale 2007, DGE, Facebook, social networking, Yves Williams
À chaque année, de nombreuses organisations tentent d’obtenir le statut de parti politique autorisé afin de pouvoir solliciter ou recueillir des contributions, contracter des emprunts, effectuer des dépenses en campagne électorale ou inscrire le nom du parti sur le bulletin de vote (à la place de “indépendant” ou “sans désignation”). Bien peu réussissent, mais ils ont tout de même la possibilité de réserver une dénomination afin d’éviter qu’une organisation rivale “vole” le nom du parti pendant le processus d’autorisation. Les suivants ont même commencé à assurer une timide présence (mais une présence tout de même) sur le web:
- Affiliation Québec: www.affiliationquebec.ca
- Parti de l’union du Québec: www.myspace.com/partidelunionduquebec
- Parti progressiste réaliste: chezdenis.net/quebec/
Si nous avions été plus rapides sur le piton, nous vous aurions également présenté le site du Parti pragmatique du Québec que nous avons découvert il y a quelques jours, mais entretemps, le site a été supprimé et remplacé par une phrase laconique annonçant que le parti est dissous. De même, le Mouvement du Québec avait un site web il y a un certain temps, mais il n’est plus disponible. Même chose pour le Parti national du Québec que nous avons découvert sur Vigile il y a peu.
Tags: Affiliation Québec, DGE, Mouvement du Québec, Parti de l’union du Québec, Parti national du Québec, Parti pragmatique du Québec, Parti progressiste réaliste, partis politiques, site web
Le Directeur général des élections a rendu public aujourd’hui le Rapport des résultats officiels du scrutin du 26 mars 2007. Le rapport aborde notamment une question qui avait fait beaucoup jaser à l’époque, soit l’adaptation de la Loi électorale aux nouvelles technologies (”nouvelles” dans le sens de “qui n’étaient pas encore répandues lors de l’élection générale de 2003″), notamment en ce qui a trait aux vidéos en ligne et des blogues. Nous avions d’ailleurs consacré quelques articles sur le sujet ici, ici , là et par là.
Hélas! À lire le chapitre portant sur les nouvelles technologies en période électorale (dans les faits saillants (format pdf)), on ne peut que se désoler de voir que le DGE, à l’image des Bourbons “n’a rien appris, ni rien oublié.”*
Utilisation des nouvelles technologies de l’information et des communications (NTIC) en période électorale
Les possibilités offertes par les NTIC sont de plus en plus omniprésentes et utilisées sur le Web. Ces technologies permettent de moderniser les pratiques de communication, d’information et d’échanges. En dehors d’une période électorale, le Directeur général des élections n’a pas à intervenir en cette matière. Il en est autrement en période électorale puisqu’il lui revient d’appliquer et de faire respecter la Loi électorale notamment au regard du contrôle des dépenses électorales des partis et des candidats et au regard des dépenses de publicité faites par des électeurs (intervenants particuliers). Les élections de mars 2007 ont permis d’observer l’émergence de ces nouvelles technologies.
Peu importe le support de transmission d’un message au public, les règles actuelles de la Loi électorale en matière de dépenses électorales sont applicables et doivent être respectées puisqu’elles visent à garantir l’équité du débat électoral. Le Directeur général des élections a cherché à appliquer la loi avec discernement, sans adopter une approche de surveillance coercitive et en n’oubliant pas que la liberté d’expression est l’une des valeurs à laquelle nous demeurons les plus attachés, individuellement et comme société.
Ainsi, quel que soit le support ou la technologie utilisé, il est important, pour bien comprendre, appliquer et analyser une situation particulière, de se rattacher aux grandes règles de base qui s’appliquent en période électorale en les transposant à cette nouvelle réalité moins tangible et plutôt virtuelle, qu’est le Web.
Enfin, précisons que les plaintes transmises par des intervenants externes en rapport avec le Web ont été traitées comme toute autre situation semblable. Somme toute, les messages sur le Web doivent être contrôlés de la même manière que ceux faits sur tout autre support bien que le Directeur général des élections soit conscient que ses moyens d’intervention en cette matière sont limités.
Par la moindre trace du début de l’ombre d’un semblant de questionnement sur l’adaptation de notre législation électorale à la réalité des nouvelles technologies en campagne électorale (pourtant, au début de la dernière campagne électorale, on n’hésitait pas à le faire). La loi s’applique, final bâton, et si son application tatillonne débouche sur des aberrations, genre une enquête sur un gars qui affiche ses sympathies pour le Parti ABC sur son blogue, bien c’est just too bad!
On ne parle pas d’une remise en question des principes de la Loi sur le financement des partis politiques de 1977, juste d’une reconnaissance que 30 ans plus tard, dans un contexte que les législateurs de l’époque ne pouvaient même pas imaginer, leur mise en application ne peut plus se faire de la même manière et que des nouvelles voies (incluant peut-être des moyens additionnels?) doivent être étudiées à cette fin.
Peut-être que la publication du Rapport des résultats officiels du scrutin n’est pas le moment propice pour faire une analyse critique de la Loi électorale, mais nous osons espérer qu’à tout le moins, on étudie sérieusement la question à l’Édifice René-Lévesque. Après tout, ce n’est pas comme si le personnel du DGE avait tout son temps! Avec un Parlement minoritaire, la prochaine élection générale arrivera à grands pas (surement pas dans quatre ans!) et le DGE aura très peu de temps pour étudier la question, proposer des solutions et les traduire en modifications à la Loi électorale. Et si des changements ne sont pas apportés rapidement, ça va être pire lors de la prochaine élection générale.
Il y a vraiment des fois où nous nous ennuyons de Pierre-F. Côté!
*Ils n’ont rien appris, ni rien oublié: Phrase attribuée à Talleyrand au sujet des émigrés royalistes qui rentrèrent en France après la chute de Napolélon 1er, en 1814 (sous la Restauration) et qui avaient pour objectif de rétablir l’Ancien régime, comme si rien ne s’était passé de 1789 à 1814 (ni la fin de l’absolutisme royal, ni la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, etc.). Vous aurez compris que cette comparaison est loin d’être flatteuse…
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Tags: élection générale 2007, blogosphère, DGE, Loi électorale, Pierre-F. Côté, site web, Talleyrand
Cybersquatting
“Quand diable Pauline Marois va-t-elle relancer le site web qu’elle avait développé lors de la course à la direction du PQ en 2005? C’est pourtant pas si compliqué de remettre un site à jour.” C’est la question que nous nous posons depuis qu’elle a annoncé sa candidature à la succession d’André Boisclair.
Tristan Péloquin a la réponse ici. Et la nouvelle adresse de Pauline Marois est là.
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Tags: course à la direction, cybersquatting, Pauline Marois, PQ, site web, Tristan Péloquin
Étrange tout de même!
On a beau se forcer pour rédiger des articles réfléchis, informatifs et documentés, c’est quand on se lance dans une montée de lait sur un site web conçu par Fred Caillou écrite en 2 minutes et quart que les lecteurs se mettent à citer ou à commenter nos billets (c’est pas qu’on se plaigne de susciter des réactions, mais la constatation demeure troublante).
Après ça, on viendra déplorer le fait que la blogosphère politique québécoise n’est pas arrivée à maturité, que les blogues n’ont pas encore un impact déterminant, qu’on privilégie les coups de gueule et le spin partisan au détriment de l’analyse, blah, blah!
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Tags: blogosphère, site web
En lisant cet article sur Radio-Canada.ca il y a quelques minutes, nous sommes tombés sur cet hyperlien qui nous dirige vers l’ancien site web de Lise Thibault. C’est le design qui était encore employé quelques jours avant l’entrée en fonction de Pierre Duchesne, mais nous espérions sa disparition complète avec le changement de régime.
Les titres en lettres cursives, les lettrines au début de chaque page, le design de style “grimoire”, le menu inséré dans un signet (un vrai, pas dans le sens de “navigateur web”), il ne manque que des enluminures, des frames et des gifs animés pour revivre l’expérience complète de la navigation sur “l’autoroute électronique” (tant qu’à retomber dans les archaïsmes…) au temps de Godefroy de Bouillon. On précise ici que le site web du lieutenant-gouverneur a été lancé en novembre 2001. Sauf que même en novembre 2001, ça faisait cucul.
Au moins le nouveau site du lieutenant-gouverneur a l’air de dater d’une époque où il y a l’électricité.
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Tags: gouvernement du Québec, lieutenant-gouverneur, Lise Thibault, Pierre Duchesne, site web
Si nous avions voulu donner un nom à un blogue qui parle de politique et des technologies, ça aurait probablement été celui là
À ajouter dans vos favoris (si ce n’est pas déjà fait): TechnoPolitique, notamment pour Gorge Profonde, qui est de retour pour le meilleur et pour le pire. Mais il y a plusieurs autres collaborateurs et ils sont en feu, si on se fie au nombre d’articles publiés en trois jours.
Michel Dumais, qui s’intéresse entre autres à l’impact du web sur la vie politique et citoyenne dans son émission Citoyen Numérique, semble être à l’origine de cette initiative.
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Tags: blogosphère, Gorge Profonde, Michel Dumais, site web, TechnoPolitique
Blogues de politiciens: appel à tous
Lorsque nous n’étions pas absorbés par le psychodrame qui secouait les murs de l’Hôtel du Parlement jusqu’à ce soir, nous avons consacré nos dernières soirées à la présence des députés de l’Assemblée nationale sur Internet, notre page sur les sites des partis politiques étant tombée en désuétude depuis le 26 mars dernier. D’abord, nous avons fait un premier tour rapide des députés qui ont leur propre site web. D’après nos savants calculs, 20 députés ont un site en état de fonctionnement. À ce sujet, nous ne pouvons que déplorer une baisse majeure à ce chapitre puisqu’ils étaient 43 députés en ligne au moment de la dissolution de la dernière législature (2003-2007). Dans certains cas, nous les avons retirés par la force des choses à la suite d’une défaite (quelques députés défaits n’ont pas encore fermé leur site) ou d’un retrait de la politique active, mais plusieurs députés réélus ont carrément tiré la plogue de leur site web. Par contre, étant donné le nombre élevé de députés qui ont été élus pour une première fois le 26 mars dernier (plus d’une cinquantaine), on peut espérer que certains d’entre eux seront présents sur la toile d’ici peu. Comme ils resteront en poste pour au moins quelques mois, ils ont maintenant tout le temps nécessaire pour monter un site web digne de ce nom.
Par ailleurs, nous avons ajouté dans notre blogroll une nouvelle catégorie consacrée aux blogues tenus par des politiciens (anciens ou actuels). Pour l’instant, il n’y a que trois blogues dans cette catégorie, soit ceux de Joseph Facal, Gilles Taillon (malheureusement, la fonction “commentaires” y est désactivée pour le moment) et Jonathan Valois. Si vous connaissez d’autres députés, ex-députés ou candidats qui tiennent un blogue (ou qui ont leur site perso, tant qu’à y être), vous pouvez ajouter un commentaire ci-dessous ou nous écrire à l’adresse suivante: politique (arobas) quebecpolitique (point) com.
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Tags: Assemblée nationale, blogosphère, députés, Gilles Taillon, Jonathan Valois, Joseph Facal, site web
Il n’y a pas que le “bitchage” dans la vie
Vous nous connaissez depuis le temps, planter le monde à tout prix n’est pas la motivation première de notre existence. Aussi, après avoir déploré il y a quelque temps l’état d’hibernation dans lequel était tombé les sites web des principaux partis politiques, comme par hasard, peu après le 26 mars, nous nous devons de faire preuve d’honnêteté et de justice et de souligner que depuis la rédaction de cet article, le site de l’Action démocratique du Québec a repris vie. Certes, ce n’est pas le super site interactif dont rêverait un expert en marketing Internet, mais au moins, les informations les plus pertinentes sont à jour.
Pour ce qui est du site web du Parti québécois, un autre blogueur, David Gagnon d’Antagoniste.net, se demandait dimanche dernier où est passé Charlie.
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Tags: ADQ, PQ, site web
La semaine dernière, plusieurs blogueurs déploraient l’état d’abandon des sites web des principaux partis politiques depuis le 27 mars, particulièrement celui du Parti québécois (nous en parlions d’ailleurs ici).
“Oui, mais c’est quoi l’affaire?”, demanderez-vous. Pourquoi revenir sur un sujet qui date de plus d’une semaine?
Parce que rien n’a changé depuis une semaine, justement.
Sur www.pq.org, le dernier communiqué date toujours du 26 mars et la dernière entrée du blogue date toujours du 1er mai. Si le site web du PQ était notre seul moyen de communication sur le monde extérieur, nous croirions qu’André Boisclair est toujours chef du PQ, que Pauline Marois est toujours en retraite de la politique active et que Gilles Duceppe espère toujours devenir calife à la place du calife.
Pour ce qui est de l’Action démocratique du Québec, la dernière mise à jour du site date du 4 mai. Sur www.adqaction.com, aucune mention des travaux de la nouvelle opposition officielle depuis la rentrée parlementaire.
Au moins, chez les libéraux, on a ajouté le discours inaugural du premier ministre. Mais c’est pas comme si le contenu du site était mis à jour en temps réel, mettons. Le dernier billet à avoir été publié dans les blogues date du 23 mars.
Conclusion: autant la campagne des principaux partis sur le web montrait des signes encourageants pendant la campagne électorale, autant le retour à la réalité est brutal.
(Note: les captures d’écran présentées dans ce billet ont été faites vers 20h50, le 16 mai 2007).
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Tags: ADQ, André Boisclair, blogosphère, campagne électorale, discours inaugural, Pauline Marois, PLQ, PQ, site web
C’est sans tambours ni trompettes que l’ex-ministre péquiste Joseph Facal, aujourd’hui professeur aux HEC et chroniqueur au Journal de Montréal, a lancé il y a trois jours son propre blogue (en fait, l’annonce officielle est parue aujourd’hui dans sa chronique du Journal de Montréal). Réactions:
- Michel Dumais se demande si, contrairement à d’autres blogues de politiciens ou de militants, celui de Joseph Facal survivra à un éventuel retour en politique active.
- Michel Leblanc invite Joseph Facal à s’imprégner des usages et pratiques de la blogosphère.
- Mario Asselin se réjouit de voir que d’ex-politiciens tels que Joseph Facal et Jonathan Valois se lancent dans “l’expérience du dialogue virtuel.”
Pendant ce temps, Tristan Péloquin et Yves Williams soulignent à grands traits l’inactivité chronique qui frappe les sites web des principaux partis depuis le 27 mars. Et maintenant que les états-majors de nos partis semblent être tombés en hibernation, ajoute Yves Williams, les “militants de la base” s’organisent dans la blogosphère.
Comme quoi toute est dans toute!
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Tags: blogosphère, Joseph Facal, site web