Québec Politique

QuébecPolitique.com - Le carnet électoral

« Être en politique, c’est comme être un entraîneur de football. Il faut être assez intelligent pour comprendre le jeu et assez bête pour penser que c\’est important. » (Eugene McCarthy (1916-2005), homme politique américain et ancien sénateur)

décembre 2007
D L Ma Me J V S
« nov    
  1
2 3 4 5 6 7 8
9 10 11 12 13 14 15
16 17 18 19 20 21 22
23 24 25 26 27 28 29
30 31  
Dernier sondage
PQ LIB ADQ VRT QS Aut.
31,0 31,0 27,0 5,0 5,0 1,0
Source: Léger Marketing, 7 novembre 2007
Intentions de vote depuis le 26 mars 2007
Québec Politique

QuébecPolitique.com

Site principal

Québec Politique

39e élection générale

Assemblée nationale du Québec
Derniers articles
  • PQ: d’autres investitures bientôt
  • PQ: une 1re investiture dimanche
  • Cohue et désistements
  • Municipal: puisque vous insistez…
  • Réforme parlementaire: le début de la fin ou la fin du début?
  • Retour dans Joliette; forfait dans Orford
  • Bourget: McKay «consulte»
  • Pointe-aux-Trembles: jamais 2 sans 3
  • Comment dessiner une carte électorale équitable?
  • Bourget: les candidatures derrière la candidature
  • Derniers commentaires
  • Frédéric sur PQ: une 1re investiture dimanche
  • Jacques sur Oui, il est sérieux!
  • Jean Gagnon sur Oui, il est sérieux!
  • Jacques sur Oui, il est sérieux!
  • Jean Gagnon sur Oui, il est sérieux!
  • Benoit sur Quand les candidats vendent des cartes...
  • Jacques sur Quand les candidats vendent des cartes...
  • Jacques sur Quand les candidats vendent des cartes...
  • Michel sur Quand les candidats vendent des cartes...
  • Jacques sur Quand les candidats vendent des cartes...
  • Nuage de tags
    Fils RSS





    Droits d'auteur

    Creative Commons License
    Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.

    Référencement

    Politics Blogs - Blog Top Sites

    Top Blogues
    Blogroll.net
    Top Politics blogs
    Politics blogs
    Top Blogs
    BlogueParade.com - Annuaire des Blogues francophones
    Annuaire de blogs du Québec
    Blogging Canadians

    meilleur site politique

    Listed in LS Blogs


    annuaire de blogs
    Politics Blogs
    Politics Blogs
    Classement de sites - Inscrivez le vôtre!Classement de sites - Inscrivez le vôtre!
    annuaire


    MediaMatin Qu

    Qu’est-ce qu’un parti politique? Voici la définition qu’en donne le site Perspective Monde de l’Université de Sherbrooke:

    Organisation durable qui vise à conquérir et à exercer le pouvoir en défendant un certain nombre d’idées définies dans un programme. Les partis politiques se démarquent des groupes de pression ou des autres organisations de la société civile (syndicats, chambres de commerce, corporations professionnelles, etc.) dans la mesure où ils visent explicitement à former le gouvernement et non pas simplement à l’influencer ou à faire pression sur lui. (…)

    On est en droit de se demander si le terme est devenu galvaudé lorsqu’on lit une phrase telle que celle-ci sur le site du Parti communiste du Québec:

    Le PCQ appelle tous ses membres, sympathisants et sympathisantes à appuyer Québec solidaire durant la campagne électorale. Le PCQ ne présente pas lui-même, sous sa propre étiquette, de candidats ou de candidates et appelle plutôt à voter pour Québec solidaire, en tout respect pour la loi électorale et en conformité avec ses engagements antérieurs. Le chef du PCQ, André Parizeau, est lui-même candidat pour Québec solidaire, dans la circonscription d’Acadie.

    On peut se poser la question: à quoi ça sert de former un parti politique si c’est pour refuser de participer au processus électoral? Après tout, on ne parle pas d’un petit parti qui, faute de moyens, ne présente qu’un nombre réduit de candidats. On parle d’un parti qui renonce délibérément à prendre part à une élection générale visant à élire des députés et à prendre le pouvoir, ce qui devrait (en principe) constituer sa raison d’être.

    La réponse remonte à 2002, alors que le Parti communiste du Québec fusionna avec le Parti de la démocratie socialiste (PDS), le Rassemblement pour l’alternative progressiste (RAP) et la section québécoise de Socialisme international afin de former l’Union des forces progressistes (UFP), l’ancêtre direct de Québec solidaire. Toutefois, jusqu’en 2005, le Parti communiste du Québec, tout en n’ayant aucun statut juridique en vertu de la Loi électorale québécoise, continua d’exister en tant que branche québécoise du Parti communiste du Canada. Un schisme survint entre les deux entités sur la question nationale en mai 2005, ce qui incita les autorités de l’ex-Parti communiste du Québec à réclamer à nouveau le statut de parti politique autorisé auprès du Directeur général des élections du Québec afin de préserver leurs droits sur le nom du parti (nous en parlons ici, mais le Parti communiste du Québec s’explique ).

    Les tiers-partis sont souvent une source d’étonnement, mais là, ça bat des records.


    Tags: , , , , , ,

    Articles connexes:

  • Retour dans Joliette; forfait dans Orford (0)
  • Pointe-aux-Trembles: jamais 2 sans 3 (0)
  • Sondage Léger Marketing de novembre 2007 (1)
  • Follow up sur la firme Tecsult (0)
  • Lendemain de veille (0)
  • 1 sur 52 sur 53 sur 54 sur 55 sur 5 (pas de vote pour l'instant)
    Loading ... Loading ...

    Selon La Nouvelle de Victoriaville, deux candidats brigueront l’investiture de Québec solidaire dans Arthabaska le 6 décembre prochain. Il s’agit de:

    • M. Michel Fontaine, syndicaliste et ancien militant du Rassemblement pour une alternative politique et de l’Union des forces progressistes. M. Fontaine fut candidat défait (ind.) lors de l’élection générale de 1998 dans Drummond;
    • M. William “Bill” Ninacs, consultant, président de la Coopérative La Clé et co-porte-parole de Québec solidaire dans Arthabaska.

    Élection générale 2007: circonscription électorale d’Arthabaska


    Tags: , , , , , , , , ,

    Articles connexes:

  • PQ: d'autres investitures bientôt (0)
  • PQ: une 1re investiture dimanche (1)
  • Cohue et désistements (0)
  • Retour dans Joliette; forfait dans Orford (0)
  • Bourget: McKay «consulte» (2)
  • 1 sur 52 sur 53 sur 54 sur 55 sur 5 (pas de vote pour l'instant)
    Loading ... Loading ...

    Le Parti vert, Québec solidaire et l’union de la gauche au Québec

    Lors d’une rencontre de presse rapportée dans Le Devoir (accès réservé aux abonnés), le chef du Parti vert du Québec, Scott MacKay, rejette plus catégoriquement que jamais l’idée d’une alliance de son parti avec Québec solidaire lors de la prochaine élection générale, réitérant ainsi la position adoptée par son parti lors de l’assemblée générale annuelle tenue le 28 mai 2006. Loin d’axer ses efforts sur une alliance avec QS, le Parti vert voudrait plutôt présenter des candidats dans les 125 circonscriptions du Québec et de faire une percée dans des régions où il y a des controverses environnementales, comme en Estrie avec le Mont-Orford ou dans Chaudières-Appalaches avec le projet Rabaska. Ce positionnement est justifié par le fait que les Verts ne se considèrent “ni de gauche, ni de droite, ni souverainistes, ni fédéralistes”. L’article de Robert Dutrisac est reproduit ci-dessous:

    Le Parti vert fera cavalier seul

    Robert Dutrisac
    Édition du samedi 23 et du dimanche 24 septembre 2006

    Québec — Le chef du Parti vert du Québec, Scott McKay, rejette à tout jamais la possibilité d’une alliance avec Québec solidaire, convaincu que les verts ont beaucoup plus de potentiel que la nouvelle formation de gauche.

    «Ils s’aperçoivent qu’ils se sont peinturés dans le coin, que leurs appuis n’augmentent pas, qu’ils n’ont pas réussi à atteindre leur objectif de croissance», a souligné Scott McKay, qui rencontrait les médias hier. «Le Parti vert du Québec a l’intention de ratisser beaucoup plus large. On ne va pas se peinturer dans un coin avec un petit parti de gauche.»

    Répondant aux appels pressants des dirigeants de QS, le PVQ, lors de son assemblée générale de mai dernier à Beaumont, a rejeté par une forte majorité de ses membres une alliance avec QS. «Le Parti vert du Québec n’est pas un parti de gauche ou de droite, ce n’est pas un parti souverainiste ou fédéraliste. C’est un parti qui veut rassembler les gens de toute orientation sociale et politique», a dit M. McKay.

    Aux élections d’avril 2003, le PVQ n’avait présenté que 37 candidats, mais M. McKay promet que sa formation politique dénichera des candidats pour les 125 circonscriptions lors des prochaines élections générales.

    Le chef du PVQ a cité des sondages qui suggéreraient que 30 % des Québécois ont déjà envisagé de voter pour les verts. Le défi, c’est de transformer cette inclination en votes ou, de façon réaliste, a précisé M. McKay, de faire en sorte que les appuis en faveur des verts — de 9 ou 10 % dans les sondages — se matérialisent dans les urnes. Or M. McKay reconnaît que le PVQ n’a pas d’organisation digne de ce nom. Le parti ne connaît même pas le nombre de ses membres, ses listes, qui comptent des milliers de noms, n’ayant pas été révisées.

    Aux prochaines élections, le PVQ s’intéressera de près aux comtés où une controverse de nature écologique a cours, comme à Lévis ou à Orford, qui pourraient devenir des terrains fertiles pour les verts. «M. Charest a eu la bonté de semer les graines qui feront en sorte que le Parti vert, dans certaines circonscriptions, pourra aller chercher des résultats importants», estime Scott McKay.

    Ce nouveau refus de M. MacKay d’envisager une alliance avec Québec solidaire n’est qu’un épisode supplémentaire à cette saga entourant l’union de la gauche au Québec. Rappelons que lors de l’élection générale de 1998, trois partis se disputaient les suffrages de l’électorat de gauche, soit le Parti de la démocratie socialiste (ex-NPD-Québec), le Parti marxiste-léniniste du Québec et le Parti communiste du Québec, auxquels on doit ajouter le Rassemblement pour une alternative politique (RAP), mouvement politique fondé en 1997 afin de “construire une force politique à gauche du PQ” et qui avait présenté une dizaine de candidats indépendants.

    À ces trois partis s’ajoutèrent en 2001 le RAP, devenu le “Rassemblement pour l’alternative progressiste”, et le Parti vert du Québec qui demeure souvent perçu comme un parti de gauche bien qu’il se présente comme étant au-dessus du clivage gauche-droite. L’année suivante, le RAP, le Parti de la démocratie socialiste et le Parti communiste du Québec fusionnèrent afin de former une nouvelle formation politique dans le but de fédérer la gauche québécoise (ce qui était pourtant l’objectif du RAP), l’Union des forces progressistes. C’est ainsi que lors de l’élection générale de 2003, on se retrouva à nouveau avec trois partis politiques se disputant le vote de gauche, soit le Parti marxiste-léniniste du Québec, l’Union des forces progressistes et le Parti vert du Québec (les deux derniers ayant conclu officiellement une alliance). Puis, en 2006, l’UFP fusionna avec le mouvement Option citoyenne de Françoise David, donnant ainsi naissance à un nouveau parti se voulant rassembleur de la gauche politique (ce à quoi aspiraient le RAP et l’UFP quelques années auparavant), Québec solidaire. Malgré cela, le Parti communiste du Québec fit un retour sur la scène québécoise en 2006 (quoique cette opération ne résulte pas d’une scission de Québec solidaire, mais plutôt de la volonté d’empêcher une autre organisation communiste de s’emparer du nom), et la section québécoise du NPD envisage sérieusement de faire un retour sur la scène québécoise.

    Résultat: pas moins de cinq partis risquent de se disputer le vote de gauche lors de la prochaine élection générale.


    Tags: alliances électorales, , , , , , , , , , , ,

    Articles connexes:

  • Retour dans Joliette; forfait dans Orford (0)
  • Bourget: McKay «consulte» (2)
  • Pointe-aux-Trembles: jamais 2 sans 3 (0)
  • Sondage Léger Marketing de novembre 2007 (1)
  • Follow up sur la firme Tecsult (0)
  • 1 sur 52 sur 53 sur 54 sur 55 sur 5 (pas de vote pour l'instant)
    Loading ... Loading ...

    En marge du Congrès biennal du Nouveau Parti démocratique à Québec en fin de semaine, des rumeurs ont commencé à courir à l’effet que la section québécoise du parti songerait à remettre sur pied le NPD-Québec et à faire un retour sur la scène électorale québécoise.

    Rappelons que le Nouveau Parti démocratique du Québec, fondé en tant qu’aile québécoise du NPD fédéral en 1963, a fait quelques apparitions sporadiques sur la scène québécoise lors des élections générales de 1970 et 1973 avant de se constituer formellement en tant que parti politique provincial en 1985. En 1989, le NPD-Québec se désaffilia du NPD fédéral après avoir pris position en faveur de la souveraineté du Québec, ce qui contrevenait à la constitution du parti fédéral. En 1996, le NPD-Québec changea de nom et devint le Parti de la démocratie socialiste. En 2002, le PDS fusionna avec le Parti communiste du Québec et le Rassemblement pour l’alternative progressiste pour constituer l’Union des forces progressistes, lequel fusionna à son tour avec d’autres mouvements politiques en 2006 pour former Québec solidaire. La question des relations d’un éventuel NPD-Québec avec Québec solidaire est d’ailleurs encore pendante.

    Le nom “Nouveau Parti démocratique du Québec” a déjà été réservé auprès du Directeur général des élections du Québec, lequel a la responsabilité d’autoriser les partis politiques sur la scène provinciale, notamment en vertu de la Loi sur le financement des partis politiques. En outre, un site Internet a été mis sur pied afin de promouvoir l’idée de recréer le NPDQ.


    Tags: alliances électorales, , , , , , ,

    Articles connexes:

  • Sondage Léger Marketing de novembre 2007 (1)
  • Follow up sur la firme Tecsult (0)
  • Lendemain de veille (0)
  • Le Groupe de réflexion sur le financement des partis politiques dépose son rapport (0)
  • Sondage CROP d'octobre 2007 (0)
  • 1 sur 52 sur 53 sur 54 sur 55 sur 5 (pas de vote pour l'instant)
    Loading ... Loading ...