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« Être en politique, c’est comme être un entraîneur de football. Il faut être assez intelligent pour comprendre le jeu et assez bête pour penser que c\’est important. » (Eugene McCarthy (1916-2005), homme politique américain et ancien sénateur)

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    MediaMatin Qu

    Étant donné la controverse qui fait rage actuellement concernant la présence ou non d’un candidat de l’Action démocratique du Québec dans Charlevoix, nous avons vérifié dans nos archives le sort qui est généralement réservé aux chefs de partis qui tentent de se faire élire comme députés à l’Assemblée nationale. Pour les besoins de la démonstration, nous nous en sommes tenus aux chefs qui correspondent aux critères suivants:

    1. Être chef d’un parti qui est représenté à l’Assemblée nationale (seule exception: Maurice Bellemare, dont le parti n’avait pas de député lors de sa nomination comme chef, mais qui a tout de même réussi à faire son entrée en Chambre).
    2. Ne pas être un député au moment de devenir chef de parti (ce qui élimine à peu près tous les chefs avant 1950).
    3. Tenter de se faire élire une première fois lors d’une élection partielle (depuis les années 30, tout chef d’un parti représenté en Chambre affronte des adversaires des autres partis).

    Partis politiques actuels

    Parti libéral du Québec

    • Georges-Émile Lapalme (devenu chef en 1950): battu lors de l’élection générale de 1952 dans Joliette, élu lors de l’élection partielle du 9 juillet 1953 dans Outremont (3 adversaires, dont UN).
    • Claude Ryan (devenu chef en 1978): élu lors de l’élection partielle du 30 avril 1979 dans Argenteuil (3 adversaires, dont PQ et UN).
    • Robert Bourassa (redevenu chef en 1983): élu lors de l’élection partielle du 3 juin 1985 dans Bertrand (6 adversaires, dont PQ), battu lors de l’élection générale de 1985, puis réélu lors de l’élection partielle du 20 janvier 1986 dans Saint-Laurent (9 adversaires).

    Action démocratique du Québec

    • Ne s’applique pas car aucun de ses chefs n’a tenté de faire son entrée en Chambre lors d’une élection partielle.

    Parti québécois

    • Lucien Bouchard (devenu chef en 1996): élu lors de l’élection partielle du 19 février 1996 dans Jonquière (6 adversaires).
    • André Boisclair (devenu chef en 2005): élu lors de l’élection partielle du 14 août 2006 dans Pointe-aux-Trembles (7 adversaires).
    • Pauline Marois (devenue chef en 2007): à venir.

    Parti égalité

    • Ne s’applique pas car aucun de ses chefs n’a tenté de faire son entrée en Chambre lors d’une élection partielle.

    Partis politiques qui sont maintenant disparus

    Union nationale

    • Maurice Bellemare (devenu chef en 1974): élu lors de l’élection partielle du 28 août 1974 dans Johnson (3 adversaires, dont LIB et PQ). L’Union nationale n’avait aucun siège à l’Assemblée nationale à ce moment-là.

    Parti conservateur

    • Joseph-Alfred Mousseau (devenu chef en 1882): élu lors de l’élection partielle du 26 août 1882 dans Jacques Cartier (1 adversaire de son propre parti!). Fait cocasse: l’élection a été annulée par les tribunaux et il a dû se faire réélire lors d’une autre élection partielle le 26 septembre 1883.

    Action libérale nationale, Bloc populaire canadien, Ralliement créditiste

    • Ne s’applique pas car aucun de leurs chefs n’a tenté de faire son entrée en Chambre lors d’une élection partielle.

    Chefs qui ont tenté de faire leur entrée en Chambre lors d’une élection générale

    Nous les mentionnons ici à titre informatif.

    • Adélard Godbout (LIB): devenu chef en 1936; député sortant défait en 1936, a refait son entrée en Chambre en 1939.
    • Jean Lesage (LIB): devenu chef en 1958; élu une première fois en 1960.
    • René Lévesque (PQ): devenu chef en 1968; député sortant défait en 1970, a refait son entrée en Chambre en 1976.
    • Rodrigue Biron (UN): devenu chef en 1976; élu une première fois la même année.
    • Jacques Parizeau (PQ): devenu chef en 1988; réélu en 1989.
    • Mario Dumont (ADQ): devenu chef en 1994; élu une première fois la même année.
    • Jean Charest (LIB): devenu chef en 1998; élu une première fois la même année.

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    Traverser la Chambre?

    Michel Corbeil relate dans l’édition du Soleil de ce matin les tractations qui auraient pu mener vers un événement rarissime à l’Assemblée nationale, soit un député qui quitte son groupe parlementaire pour joindre un autre parti politique. Le député de Groulx, Pierre Descôteaux (LIB), aurait été approché par des membres de l’État-major du Parti québécois afin de joindre l’opposition officielle:

    Le SoleilLe mardi 12 décembre 2006

    PASSAGE DU PLQ AU PQ

    Le député Descôteaux nie les rumeurs

    Michel Corbeil
    Le Soleil
    Québec

    Le député libéral de Groulx, Pierre Descôteaux, nie formellement la rumeur voulant qu’il songe à traverser le parquet de la Chambre à l’Assemblée nationale pour se joindre au Parti québécois.

    L’élu s’est amusé d’être approché à ce sujet. « C’est rare qu’un journaliste appelle un député d’arrière-banc », a-t-il blagué.

    « Si j’étais sollicité par le PQ, je m’en serais vanté », a-t-il ajouté. Il a signalé qu’il comprend bien le jeu politique, même s’il n’a pas une longue expérience comme député.

    Selon les bruits qui sont parvenus au Soleil, des tractations avaient eu lieu au plus haut niveau, ces derniers jours. Certains ont même affirmé que le député de Groulx, une circonscription au nord de Montréal, avait rencontré son chef, Jean Charest, et un conseiller du leader péquiste André Boisclair.

    On a souvent vu un député démissionner (ou être démissionné!) de son parti politique afin de siéger en chambre comme député indépendant, mais le fait de passer directement d’un parti à un autre est très peu fréquent à l’Assemblée nationale. Les derniers événements de ce type remontent à la 31e législature (1976-1981), le député de Huntingdon, Claude Dubois (UN), ayant quitté l’Union nationale en septembre 1979 afin de joindre le Parti libéral du Québec, tandis qu’un an plus tard, le député de Rouyn-Noranda et chef du Parti démocrate créditiste, Camil Samson (CS), joignait également les libéraux. Pour sa part, le député de Lotbinière, Rodrigue Biron (ind.), avait démissionné comme chef de l’Union nationale en mars 1980 et siégé comme député indépendant avant de joindre le PQ en novembre 1980.

    Plus récemment, en août 1992, le député de Westmount, Richard B. Holden (ind.), annonçait qu’il joignait le groupe parlementaire du Parti québécois, mais il s’était écoulé près d’un an entre sa démission du Parti égalité et son adhésion au PQ. Par ailleurs, le 2 mars 1994, le député d’Iberville, Yvon Lafrance (ind.), qui avait quitté le Parti libéral du Québec un mois plus tôt, annonçait qu’il siégerait comme député de l’Action démocratique du Québec. L’ADQ ne constituait toutefois pas un groupe parlementaire reconnu en chambre, n’ayant pas encore participé à un scrutin à l’époque.


    Tags: , Camil Samson, Claude Dubois, , député indépendant, , , , , , , Pierre Descôteaux, , , Richard B. Holden, , Rouyn-Noranda, , , Yvon Lafrance

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