À la suite de l’article paru hier dans Rue Frontenac sur une hypothétique accession de l’ex-chef libéral fédéral Stéphane Dion à la tête du Parti vert du Québec (nous en avons parlé ici), le chef et le président du parti ont jugé utile de nous faire parvenir un communiqué de presse (qui n’est reproduit ni sur leur site Web, ni sur CNW-Telbec) démentant cette rumeur, faisant valoir que «Le Conseil national, l’Exécutif national et le chef du parti, Guy Rainville, nient toute démarche officielle visant à attirer Stéphane Dion dans leur rang».
Le Parti vert du Québec nie la rumeur publiée dans Rue Frontenac
Montréal, le 25 novembre 2009 – Le Parti vert du Québec (PVQ) nie qu’il ait approché Stéphane Dion afin de lui offrir le poste de chef du parti.
Un article paru dans Rue Frontenac, le 23 novembre dernier, rapportait que des membres du PVQ aient approché l’ancien chef libéral afin de lui proposer le poste de chef du parti. Le Conseil national, l’Exécutif national et le chef du parti, Guy Rainville, nient toute démarche officielle visant à attirer Stéphane Dion dans leur rang. « Peut-être que certains membres ont pu trouver intéressant d’approcher Stéphane Dion au cours des derniers mois », mentionne Paul-André Martineau, président du Parti vert du Québec, « mais ce fut une initiative individuelle de leur part. »
De plus, en ce qui concerne la démarche « putschiste » citée dans l’article : « c’est de bien mal connaître le Parti vert du Québec, mentionne Guy Rainville, chef du PVQ. Au PVQ, poursuit-il, nous faisons de la politique autrement. Nous avons en commun un projet universel et rassembleur : celui de créer une société responsable sur le plan social, environnemental et économique. Cela n’a rien à voir avec les vieilles manières de faire en politique qui volent souvent bas, conclue-t-il. »